Un chemin dans la vie
J'ai commencé mon existence un peu comme tout le monde, et j'ai fait les expériences qu'elle a mise à ma portée avec l'enthousiasme de celui qui croit en la vie et qui a confiance en elle.
Je ne suis pas né clairvoyant ni "clairentendant", mais je le suis devenu plus tard, à force de me poser des questions.
Rien d'ailleurs ne me prédisposait à cet éveil, même s'il fut tardif, sinon les difficultés rencontrées dans mon adolescence au cours de la quête de ma véritable identité. J'ai cependant reçu de Dieu, comme un cadeau extraordinaire, l'amour que je lui voue depuis mon enfance, qui m'a été d'un grand secours pendant cette période difficile. Ma foi a toujours été la gardienne de mes pensées et je m'en suis toujours remis à Dieu pour tout ce qui concernait ma vie : on m'avait enseigné ainsi et je savais qu'il était toujours là. Avec me temps, je me suis habitué à sa présence et j'avais parfois une sensation de manque quand je ne pensais plus à lui.
Dès l'adolescence, j'aspirais avec force à atteindre la perfection, tant dans mon comportement que dans mes pensées, que j'avais l'habitude d'analyser. Non pas cette perfection que l'on recherche chez les autres et qui finit par ne nourrir que notre critique, mais bien celle qui tend à nous rendre meilleur et plein d'amour pour les autres.
Grâce à Dieu, mes rapports avec autrui ont toujours évolué dans ce sens car j'ai appris, souvent à mes dépens, qu'il est possible de transformer, d'éveiller la partie la plus proche de la perfection en soi. J'ai appris très tôt à me remettre en question et il m'en reste aujourd'hui le souvenir de grands moments de déprime pendant lesquels je me battais contre mes démons intérieurs et où je refoulais hors de moi tout ce que je détestais.
Cette recherche était pour moi comme un challenge et je voulais, au nom de je ne sais quelle idéologie, atteindre cette perfection qui se traduisait à mes yeux par un comportement sans excès, une attitude toujours correcte et digne et des actes sages et raisonnables qui auraient pu faire de moi un exemple à citer... Je ne suis pas devenu ce fantôme de la perfection.
Je n'ai pas réussi à devenir l'homme idéal, ni même à atteindre la véritable maîtrise de moi-même, pour devenir un être divin...
Mais au bout de cette quête particulières j'ai rencontré Dieu.
J'ai toujours eu autour de moi des personnes capables de me montrer ce chemin de la perfection à laquelle j'accorde tant d'importance encore aujourd'hui, grâce à la justesse de leur comportement. De plus en plus, je cherche à m'en rapprocher davantage et à privilégier leur présence inestimable, dans ce monde qui ne nous permet pas toujours la qualité de vie à laquelle, cependant, j'aspire de plus en plus profondément.
Je ne saurais trop inviter tout ceux qui sont en quête d'eux-mêmes à maintenir et à renforcer les liens qui les unissent aux personnes de leur entourages susceptibles de leur présenter ce qu'ils considèrent comme une forme d'idéal spirituel.
Et, pourquoi pas, d'une certaine manière à s'y identifier.
J'ai souvent entendu ma mère dire qu'à force de fréquenter des ânes on finissait par manger du foin ! Il est donc préférable de fréquenter les saints et d'éviter les sots...
"Lorsque l'élève est prêt, le Maître arrive"...
A chaque étape de notre évolution peut se manifester la présence d'un être - incarné ou désincarné - venu nous transmettre un enseignement. Et chaque enseignement correspond à ce que l'on peut recevoir et comprendre à ce moment particulier.
Le divin s'était manifesté déjà une fois, comme pour me prouver son existence réelle. Il le fit une seconde fois, au cours de ma vingt-cinquième année : j'eus la révélation de Mâ Ananda Moyî.
Mâ Ananda Moyî
(1896-1982) était une sainte hindoue, reconnue et vénérée comme une incarnation divine. Elle était née consciente, disait-on, et ses parents étaient considérés comme des saints.
Elle vivait en permanence, depuis son enfance, dans un état de conscience supérieur : elle ne s'est jamais identifiée à son corps de chair. Elle n'avait pas fréquenté l'école plus de trois ans. Pourtant, elle recevait les plus grands sages de l'Inde venus de loin pour la rencontrer et l'écouter parler de Dieu. Elle était une incarnation vivante de l'Amour et sa présence était une véritable bénédiction pour qui l'approchait.
Ne l'ayant pas connue de son vivant (je ne suis jamais allé en Inde et elle-même n'est jamais venue en Europe), je ne peux rapporter d'elle que ce que j'ai lu de sa vie dans les livres qui existent et ce que j'en ai entendu dire par des personnes qui ont vécu près d'elle. Mais, de ma rencontre avec elle, je tairai l'essentiel, préférant garder sous silence cette inoubliable expérience dont elle m'a fait le don.
Après avoir eu la révélation de Mâ, j'ai abandonné du jour au lendemain mon travail et abordé un chemin très différent qui me procura, à travers bien d'autres difficultés, un merveilleux enrichissement. A cette époque, j'étais installé comme voyant, investi du sincère sentiment que c'était ma vocation et que je pouvais apporter un mieux-être à ceux qui venaient me consulter. Tous ceux qui s'intéressent aux enseignements des grands maîtres savent ce que ceux-ci pensent des voyants et autres prédicateurs, astrologues, numérologues, et charlatans divers (eh oui, nous sommes tous dans le même panier ! ...)
Pourtant, ma faculté à aider les gens à mieux comprendre leur existence était bien réelle. Je crois sincèrement que si on ne connaît pas ce qui anime réellement notre démarche personnelle on ne peut que porter sur soi-même un jugement arbitraire. Preuve, souvent, de manque d'ouverture. Car, en définitive, ces pouvoirs dits parapsy sont présents en l'homme et si Dieu les y a mis c'est sans doute pour quelque chose.
(...)
Mon Maître a été le déclencheur de mon changement d'activité et c'est elle qui m'a fait prendre la décision de changer ma vie. Il y a eu à l'origine l'histoire de sa photographie perdue que j'ai retrouvée seulement le jour où j'ai décidé d'arrêter mon activité. Comme par enchantement elle réapparut ce jour-là, comme si Mâ eut voulu me dire qu'elle attendait de moi cette décision.
C'est autour de cette période que je me suis retiré dans un ashram pour m'isoler et prendre davantage de recul. J'en garde un souvenir inoubliable de paix et d'harmonie qu'il m'avait été possible de cultiver dans le silence et la communion.
Il y eut après cette période beaucoup de confusion en moi et je ne savais plus quelle importance attribuer aux messages que je recevais de mon ange avec qui j'entretenais des rapports privilégiés, alors que les enseignements sacrés dont Mâ était à mes yeux une représentante vivante me mettaient en garde contre les dérapages de la voie spirituelle. Perdu dans ma confusion je m'y suis enlisé jusqu'à me perdre moi-même, et je me suis retrouvé dans la même situation que dix ans plus tôt. J'avais envie de mourir car je ne trouvais plus ma place dans la vie, et j'en vins à regretter d'avoir tout abandonné, jusqu'à ma place, ma vocation et mon identité sociale. Ce fut Mâ qui vint cette fois-ci me réveiller de ma torpeur et qui m'inonda de son incommensurable amour. Elle me redonna la joie qui s'était éteinte dans mon coeur et transforma ma vie. Depuis ce jour, je ne vis plus un seul instant sans avoir une pensée pour elle.
L'expérience m'a montré depuis que le temps est un éternel mouvement qui nous soumet à des cycles alternatifs, se renouvelant en permanence, et amenant toujours avec eux la possibilité d'une évolution réelle. Alors pourquoi continuer à s'intéresser à un futur alors qu'il nous faut amener le présent à l'expression de sa plus pure perfection, afin que chaque instant devienne ce que nous en attendons ?
Il existe des êtres merveilleux, véritables réceptacles de l'Amour divin, qui ont choisi de renoncer au monde et de se consacrer à Dieu. Ces êtres à l'ouverture spirituelle souvent extraordinaire sont capables par leur seule présence de nous transformer et d'éveiller notre esprit à la connaissance de Dieu. Ces êtres-là sont rares, précieux, et d'un grand secours pour notre humanité qui cherche à répondre à l'appel de son créateur. Ils sont comme des phares qui éclairent notre obscurité quotidienne et ils veillent en permanence sur l'esprit du monde et sur les êtres que Dieu les a chargés d'illuminer.
Mâ Ananda Moyî fait partie de ces êtres exceptionnels : elle m'a permis de voir que la vie elle-même EST spirituelle.
Elle m'a ouvert les yeux sur ma propre vie et sur ses lois. Le rayonnement de son amour a sur percer la carapace de mon égoïsme qui limitait ma perception des valeurs spirituelles. Elle m'a aimé avant tout. Elle a su remplir mon coeur de tout l'amour qu'elle savait nécessaire à mon accomplissement, car sans amour il n'est pas de vie possible.
Qui peut véritablement aimer sans ternir l'expression de son amour par ses désirs, ses peurs, ses rancunes et ses espoirs déçus qui transparaissent dans toute expression de soi ?
Il me reste encore à dépasser de très nombreux éléments pour atteindre le libération à laquelle j'aspire. Mais si les expériences qu'il me reste à vivre promettent autant de joies que j'ai eu la grâce d'en éprouver jusque-là, c'est le coeur léger que je participerai à cette évolution qui représente à mes yeux la plus noble cause pour laquelle un être humain peut s'incarner.
Grâce à Mâ Ananda Moyî j'ai découvert au moins la véritable raison d'être de mon existence, et elle m'a montré combien il était nécessaire de s'ouvrir à Dieu. Nous vivons en effet sur cette terre une illusion parfaite. L'être naît dans la chair pour se préparer à sa dimension spirituelle où Dieu l'attend. C'est la quête perpétuelle de toutes nos religions. Avoir conscience de l'existence de Dieu, présent en chacun de nous et en toutes choses, peut nous amener à la Libération de nos souffrances.
Je ne saurais pas vraiment parler d'une femme exceptionnelle que je n'ai pas connue de son vivant, mais je sais qu'elle habite mon coeur depuis toujours.
j'ai cherché Dieu sans cesse, prétextant qu'il valait mieux s'adresser directement à lui qu'à "ses saints". Mâ a été mise sur ma route comme témoignage de Sa grandeur.
A travers elle j'ai compris que les desseins de Dieu sont vraiment impénétrables et qu'il choisit toujours ce qui est le meilleur pour chacun d'entre nous, en fonction des efforts que nous avons à fournir pour aller jusqu'à Lui.
C'est aussi grâce à Mâ que j'ai pu avoir accès à la dimension de l'acceptation et du respect de la différence. Elle m'a appris à aimer la vie - à aimer ma vie - ce que j'avais refusé pendant vingt ans. Tant de choses peuvent se transformer en soi lorsqu'on vit dans l'idéal d'un saint : tous les comportements changent et on se perfectionne.
Il existe aujourd'hui de nombreux cours ou formations prodigués par les enseignants de certaines disciplines destinées à susciter l'éveil spirituel. On rencontre aussi des gourous que certains suivent corps et âme - oubliant très souvent Dieu lui-même - et qu'ils vénèrent en ses lieu et place.
Personnellement, j'ai toujours préféré le contact direct avec Dieu qui est à l'origine de toutes les disciplines et de tous les enseignements que l'on peut trouver. Les sages de toutes les traditions ont atteint l'illumination par le contact direct avec Lui, aucun d'entre eux ne s'est jamais trouvé illuminé par le truchement d'un autre, aussi sage puisse-t-il être tant qu'il n'a pas véritablement réalisé Dieu. Seul Dieu est responsable de notre éveil simplement parce qu'il nous a créés et qu'il nous aime. Et parce qu'il nous aime il met sur notre route ceux qui peuvent nous conduire jusqu'à Lui.
Les expériences de notre vie sont comme d'innombrables jouets réunis dans la vaste salle de jeu qu'est le monde : chacun choisit ceux qui lui semblent les plus attrayants, mais rares sont ceux qui s'en satisfont pleinement. Beaucoup finissent par utiliser tous les jouets de façon superficielle, sans même avoir découvert la beauté de la salle elle-même, ni même seulement avoir cherché à rencontrer l'architecte...
Mâ a su m'apprendre, enfant perdu dans la jungle de son incohérence, à choisir un chemin pour lequel elle me savait prêt malgré toutes les difficultés qu'il comporte et les renoncements qu'il suggère. Je reconnais aujourd'hui n'être qu'un jouet - un turbulent outil - entre les mains de sa divine providence, celle qui a su donner sans mesure à son enfant l'amour qu'il réclamait.
La Grâce divine peut toucher seulement ceux qui savent oublier qu'ils sont des êtres humains, en hommage à la grandeur de toute la Création et à son Créateur.
C'est à travers la philosophie hindoue et grâce à ses grands Maîtres que j'ai découvert la réalité d'une vie qui ne parvenait pas, jusque-là, à se montrer à moi sous sa véritable lumière. La voie du bonheur est notre quête à tous et nous sommes nés pour atteindre la Vérité. Ces Maîtres nous dispensent, à nous occidentaux englués dans notre matérialisme dérisoire, non seulement de l'enseignement capable de donner un sens fondamental à notre existence, mais aussi et surtout l'exemple frappant de la dimension hors du commun qui existe en tout être et qu'ils ont choisi de cultiver comme témoignage de l'essentiel, pour nous montrer le chemin de la libération des attaches de ce monde. Leur attitude juste, empreinte d'un amour incommensurable et inconditionnel, la dimension extraordinaire de perfection qu'ils donnent à leur attitude dans la vie quotidienne et le respect fondamental des traditions sacrées qu'ils enseignent et appliquent, font d'eux le bien le plus précieux pour l'avancement de notre humanité.
Qu'importe ce qu'ils sont et ce que peut être la nature de leur réalisation si la voie qu'ils nous proposent et l'exemple qu'ils nous donnent peuvent nous faire accéder à notre dimension véritable. Nous avons la désespérante tendance à vivre pour gagner alors que, plus nous avançons, plus nous nous perdons et notre existence se vide de tout attrait.
Voici une petite histoire que racontait Swami Ramdas au sujet de la providence.
Dieu Fait tout pour votre bien
"Un Roi accompagné d'un ministre et de sa suite s'en allait chasser dans les profondeurs de la forêt. Le ministre était un homme de grande sagesse et aimé de tous. Il disait en toutes circonstances "ce que Dieu fait, il le fait pour votre bien." Il recommandait à ceux qui lui demandaient conseil d'avoir la sagesse de s'en remettre à la Volonté de Dieu.
Au cours de la chasse, le Roi et le ministre se trouvaient séparés du reste de la suite et perdirent. Le Roi était fatigué et sentait venir la faim. Ils descendirent de cheval et se reposèrent un peu. "Ministre, lui dit le Roi d'une voix lasse, j'ai faim. Peux-tu me trouver un peu de nourriture ?"
Le ministre grimpa à un arbre et redescendit avec des fruits savoureux. Dans sa hâte, en coupant un fruit, le Roi entama profondément son doigt et en coupa un bout. "Ho! ho ! Comme j'ai mal" cria-t-il. "Dieu fait tout pour votre bien" lui répondit calmement le ministre. A ces mots le Roi entra dans une violente colère et cria : "Fou que tu es ! Je n'ai que faire de ta philosophie. J'en suis fatigué. Je souffre et tout ce que tu trouves à me dire, c'est : "Dieu fait tout pour votre bien !"
Morose, le Roi banda son doigt blessé et ne dit plus mot. Le ministre s'éloigna et laissa le Roi seul.
Comme la nuit se faisait plus sombre, deux brigands qui passaient par là en quête d'un mauvais coup se saisirent du Roi et le ligotèrent. "Qu'attendez-vous de moi ?" demanda le Roi. "Nous allons te sacrifier à la Déesse. C'est la coutume de lui offrir un sacrifice humain une fois l'an. C'est de la chance de t'avoir trouvé car aujourd'hui est le jour du sacrifice.
"C'est bien là ma chance" se dit le Roi. Et ils conduisirent leur victime jusqu'à l'autel de la Déesse, préparant le sacrifice. Mais le prêtre officiant vit le bandage qui entourait la main du Roi. Il l'enleva et découvrit qu'un bout de doigt manquait. Il dit aux hommes assemblés : "Ecoutez, nous ne pouvons sacrifier cet homme à la Déesse : Elle veut un homme entier. Trouvez quelqu'un d'autre et relâchez celui-ci". Le Roi n'en croyait pas ses oreilles. Il se retrouva libre, seul de nouveau.
"Dieu fait tout pour votre bien." Les sages paroles du ministre lui revinrent en mémoire. S'il ne s'était pas coupé le doigt il serait actuellement un homme mort ! Et le coeur rempli de remords il partit à la recherche du ministre. Il le retrouva endormi au pied d'un arbre. Le Roi le réveilla, lui raconta ce qui s'était passé et implora son pardon. "Roi, répondit le ministre, vous ne m'avez causé aucune injure. Il n'y a rien à pardonner. En vérité vous m'avez sauvé. En effet, alors que vous me chassiez et que je répétais : Dieu fait tout pour votre bien, vous vous trouviez seul et capturé pour être immolé à la Déesse. Si vous ne m'aviez pas renvoyé j'aurais été capturé avec vous et sacrifié car mon corps est bien entier et ne présente pas la plus petite blessure.
En vérité, Dieu fait tout pour votre bien !"
Voici les 10 règles à observer selon
l'Enseignement de Mâ Ananda Moyî
1. Respectez la Vérité en paroles, en pensées et en actions.
2. Soyez simples dans votre nourriture et vos vêtements.
3. Soyez sereins et préférez l'éternel au temporel. Méditez sur les aspects de Dieu, sur Sa gloire, sur Son message comme le demandent les Enseignements.
4. Souvenez-vous que Dieu envoie ses épreuves pour vous permettre de progresser.
5. Gardez vivant l'esprit de service en étant convaincu que tous - parents, amis ou voisins - sont autant de chemins par lesquels les services que vous leur aurez rendus vont Lui parvenir.
6. Renforcez la certitude que la Vérité vous habite, en grandissant dans le sein de Dieu, en vous oubliant vous-même pour Le trouver un peu plus chaque jour.
7. Souvenez-vous que les joies et les peines sont des ombres éphémères de votre propre Être. Jouer avec les forces divines apporte paix et joie.
8. Donnez à votre esprit une envergure suffisante pour jouer avec Lui, réjouissez-vous de la beauté de Ses attributs, de Ses Grâces comme il est dit dans les Livres Sacrés et par la bouche des Saints.
9. Si vous ne faites pas de progrès spirituel, sachez que vous seul êtes responsable de votre faiblesse. Faites davantage d'efforts en vous répétant : "j'invoquerai Son Nom, je Le vénérerai, je dois apprendre à L'Aimer." Cet ego tendu vers Dieu est préférable à l'ego limité.
10. Souvenez-vous qu'invoquer le nom de Dieu a le pouvoir d'effacer toutes les fautes, qu'elles soient présentes ou passées.