Pour aller plus loin
Le nom de Mâ Ananda Moyî, prend souvent l’orthographe de Mâ Anandamayî
En sanskrit, comme en bengali et en hindi, ‘ananda’ et ‘moyi’ sont toujours attachés. Le ‘o’ de Moyi correspond à la prononciation Bengali. Le livre de Josette Herbert est orthographié Ananda Moyî à cause de l'influence bengalie, mais nous avons souvent vu dans bien d’autres livres l'orthographe plus standard de Mâ Anandamayî.
Il y a maintenant un site internet important à propos de Mâ Anandamayî. www.anandamayi.org On y trouvera non seulement des textes, mais aussi des photos, des enregistrements de la voix chantée de Mâ et des extraits de vidéos souvent difficiles à se procurer par ailleurs. Y sont disponibles également des livres entiers sur Mâ en anglais, en espagnol, et également en français que nous avons pu placer là grâce à l'aimable autorisation des éditeurs (pour cela, ouvrir sur la page de garde la rubrique "ashrams" et dans les boutons indiquant les différentes langues disponibles, cliquer "français").
Dans la bibliographie ci-dessous, nous mentionnons à la fin de la description des livres ceux qui sont disponibles aussi, ou seulement sur internet.
L'enseignement de Mâ Ananda Moyî traduit par Josette Herbert. Albin Michel- Spiritualités vivantes
Il s'agit d'un classique sur Mâ Ananda Moyî constitué par la combinaison de multiples écrits en anglais transmettant les paroles de Mâ. Il est accompagné d'un index et glossaire utile pour chercher les références dans ce livre de 350 pages.
Aux sources de la joie traduit par Jean Herbert Albin Michel- Spiritualités vivantes
Ce livre est la réédition de la première traduction de l'enseignement de Mâ en français, pendant la seconde guerre mondiale en Suisse sous la plume de Jean Herbert; avant même qu’il n’ait entamé la collection ‘Spiritualités vivantes’ chez Albin Michel en 1946. Les enseignements spirituels brefs, en général une page, qu’il contient ont inspiré nombre de chercheurs spirituels. Il s’agit de la traduction ‘Sadvani’ (« Paroles de vérité ») qui a été le premier ouvrage sur Mâ à avoir été publié au Bengale en 1935. C’est un recueil de ses conseils. Les paroles de Mâ ont été notées par Bhaiji qui à cette époque vivait à ses côtés avec Bholanath, son mari, tous trois en retraite aux pieds de l’Himalaya. Il devait écrire après coup les conseils que Mâ donnait; car celle-ci s’arrêtait de parler dès qu’elle voyait quelqu’un noter.
Visages de Mâ Anandamayî de Bharati Dhingra. (Cerf)
Cet ouvrage est la publication posthume de récits sur Mâ, écrits par la veuve de Baldoon Dhingra qui a été un des représentants de l'Inde à l'UNESCO. Ce livre est malheureusement épuisé actuellement
Perles de lumière La Table ronde traduction de Laurence Fritsch)
Il s'agit d'un petit livre de pensées de Mâ joliment présentées.
La saturée de joie par Jean-Claude Marol Dervy 2001
Ce livre est paru quelques semaines seulement avant à la mort de son auteur, il y a eu donc la satisfaction de le voir publié. Il présente différentes facettes de l'enseignement et de la personne de Mâ vue par l'esprit français actuel.
‘En tout et pour tout’ est un livre de photo et texte préparé par Marol. C’est le premier ouvrage de ce genre sur Mâ à être paru en Français; il a été publié pendant l’année du centenaire de la naissance de Mâ en 1995. Il montre non seulement des photos de Mâ elle-même, mais aussi de l’Inde où celle-ci vivait. C’est un beau livre d’introduction à Mâ qu’on peut facilement offrir. Les éditions Le Fennec ayant fermé en 1997 ; le moyen d’obtenir le livre complet est d’écrire à Claude Portal, 12 rue Lamartine 78100 St Germain en Laye (prix : 120 Frs de l’époque).
Une fois, Mâ Anandamayî (Le Courrier du livre) est un autre livre de photos et textes sur Mâ préparé par Marol.
Présence de Mâ d’Atmânanda qui a fait publier une partie de son journal intime sous ce titre aux Deux Océans dans sa version française. Elle a laissé avant de mourir l’ensemble de son journal à Ram Alexander, qui l’a fait publier en anglais (Death must die, Indica Books, Bénarès). La traduction française a été publiée sous le titre ci-dessous :
La mort doit mourir chez Accarias-L’Originel (2003)
Arnaud Desjardins a fait connaître Mâ en France grâce à son livre Ashrams Albin-Michel- Spiritualités vivantes et a son film du même nom (Alizé-Diffusion BP 3 07800 St-Laurent-du- Pape) et Denise Desjardins parle de ses expériences avec elle dans son autobiographie La route et le chemin La Table Ronde
Pour les éditions plus récentes :
2007 - Nous trouvons ‘En compagnie de Mâ Anandamayî’ de Bithikâ Mukerjî, traduit de l’anglais par Jacques Vigne et Geneviève Koevoets, aux Editions Agamat (Mars 2007)
2016 - Nouvelle Edition du livre ‘Voyage intérieur aux sources de la joie (souvenirs de l’Inde)’ de Geneviève Koevoets (Mahâjyoti). Dédié à Mâ Anandamayî et à Swami Vijayânanda. La nouvelle présentation du livre contient désormais 198 pages, 32 photos de Mâ Anandamayî, de Swami Vijayânanda, de Jacques Vigne et de l’Inde, ainsi que les recensions/témoignages des lecteurs qui ont aimé le livre à sa première sortie en 2011-12. On peut le commander aux Editions du Petit Véhicule 150 Bd des Poilus – 44300 Nantes – Tel : 02 40 52 14 94 editions.petit.vehicule@gmail.com
2013/14 Editions Unicité de François Mocaër – ‘Paroles de Mâ Anandamayî, classées par thèmes’ traduit de l’anglais par Jean E. Louis – On peut le commander : 3 Sente des Vignes - 91530 Saint-Chéron - à francoismocaer@yahoo.fr ou par : http://www.editions-unicite.fr/
Les livres ci-dessous sont disponibles aussi sur internet (www.anandamayi.org):
"Un français dans l'Himalaya ou itinéraire avec Mâ Anandamayî", par Vijâyananda textes rassemblés et présentés par Jacques Vigne. Editions Terre du Ciel - Ce livre a été publié en 1996 par une entente à l'amiable avec l'éditeur, mais est épuisé depuis longtemps tout en restant disponible sur internet.
Un Français dans l'Himalaya relate l'itinéraire de Vijayananda avec Mâ depuis qu’il l’a rencontrée à Bénarès en 1951 et qu’il est resté en Inde ensuite. On y trouvera une série d’articles qu’il a écrits sur elle ainsi que des questions-réponses sur la vie spirituelle et le témoignage de ses rencontres avec quelques sages de l’Inde contemporaine.
Ce livre a été traduit en italien par Geneviève Koevoets (Mahâjyoti) sous le titre ‘Vijayânanda-Un medico francese in Himalaya, diario di un cammino spirituale’. Comme c’est Jacques Vigne qui en avait transcrit le texte, ce livre est donc, à la fois, considéré comme étant le premier livre de Jacques Vigne en Italie, pour la maison d’éditions ‘MC Editrice’ de Michela Bianchi, à Milan, qui a publié depuis cela 8 autres livres de Jacques Vigne en italien. (michela.bianchi@mceditrice.it )
‘La vision de la Mère’ de Bhaiji. Terre du Ciel réédition 2002
" Ceux qui ont observé le visage resplendissant de Mâ, avec son sourire toujours radieux, sa simplicité enfantine, son humeur joyeuse et ses plaisanteries s'écoulant d'un cœur débordant de joie ont dû être fascinés. Toutes ses paroles et expressions, chacun de ses regards et de ses gestes sont pénétrés d'une douceur sans égale. Un parfum divin émane de son corps, de chacune de ses respirations, de ses habits et de sa literie même. Quand elle chante, le cœur est empli de pensées et d'idées qui proviennent de la source la plus intime." Grâce à la traduction de Jacques Vigne, nous avons pour la première fois en français le témoignage de Bhaïji, l'un des premiers et des plus proches disciples de Mâ, celui qui lui donna son nom, d'Anandamayî et fut à l'origine des premiers ashrams de Dacca et de Dehra-Dun. De sa rencontre avec elle en 1925, à sa mort en 1937, Bhaïji qui avait placé Mâ au centre de son existence, vécut dans un émerveillement croissant. Shrî Mâ avait éveillé en lui l'amour divin par sa seule présence. Ecrit en Bengali, puis publié en hindi et en anglais après sa mort, le livre de Bhaïji est un document de première main sur une relation authentique entre guru et disciple, et, à ce titre, il est précieux pour le public français d'aujourd'hui.
‘Aperçus sur la vie de Mâ Anandamayî’ de Bithika Mukerjee
C’est la traduction de la première moitié de la biographie classique de Mâ en anglais. C’est certainement dans ce premier volume qu’on trouvera le plus d’anecdotes peu ordinaires et d’évènements qui donnent à méditer. Dans la seconde partie de son existence, Mâ était plus posée et avait moins de ces manifestations extatiques qui étaient néanmoins attendues dans la culture bengali de la part d’un ou d’une mystique. Mâ n’était pas une personne habituelle; Bithika Mukerjee a rendu un grand service en écrivant cette biographie objective et bien informée; elle a évité le double écueil de la froideur pseudo-scientifique ou de la dévotion par trop émotionnelle. Elle a consciencieusement vérifié les faits de la vie de Mâ auprès de son entourage proche; les parents de Bithika et elle-même faisaient partie du ‘cercle intérieur’ des disciples de Mâ. Parfois; elle a vérifié les faits avec Mâ elle-même.
Il y a deux aspects dans l’itinéraire de Mâ, qui sont différents sans pour autant se contredire :
le premier; c’est l’appel auquel elle a répondu en venant en ce monde; lancé par un groupe de brahmines orthodoxes bengalis qui souhaitaient ardemment restaurer la tradition, au moins dans certains centres; et les quelques vingt-cinq ashrams de Mâ, plus l’influence indirecte de son mouvement, montre qu’elle a eu une réussite dans ce domaine. Par ailleurs; Mâ est venue pour mettre le plus grand nombre possible de gens dans le courant spirituel; qu’ils soient d’Orient ou d’Occident; et elle a accompli cette mission de multiples façons.
Bithika Mukerjee qui a écrit ce livre a été Professeur de Philosophie à l’Université Hindoue de Bénarès: elle a été invitée plusieurs fois en Europe pour parler de Mâ et de la spiritualité de l’Inde: elle est vice-présidente du ‘kanyapith’; l’école de filles associée à l’ashram de Mâ à Bénarès. C’est probablement la première école en Inde à avoir mené des étudiantes jusqu’au shastri, le doctorat traditionnel en sanskrit et sciences religieuses. Bithika va bientôt publier un livre à Delhi où elle détaille l’association de sa famille et d’elle-même avec Mâ pendant plus d’un demi-siècle. Elle a déjà accepté de le mettre sur la partie anglaise de ce site web lors de sa parution prévue dans quelques mois; nous nous réjouissons d’avance de pouvoir présenter au public mondial ce document de première main sur la femme sage la plus connue en Inde dans le courant du XXe siècle.
La traduction française de cet ouvrage a été publiée par épisode dans le journal Panharmonie sous la plume de Gilbert Gaucher dans les années 70. Pendant une vingtaine d’années; cet ouvrage a été introuvable, puis nous avons décidé de le rééditer sous forme de polycopié à l’occasion du centenaire de la naissance de Mâ (95-96). Nous sommes heureux aujourd’hui de compléter le processus de résurrection de cet ouvrage de référence en le publiant sur Internet.
Vie en jeu (Accarias-l’Originel) est une anthologie de paroles de Mâ réunie par J.C.Marol
‘A la rencontre de Mâ’ de Madou est un livre qui est né d’un voyage et d’une rencontre : Madou s’est rendue pour la première fois en Inde au début des années 80 et a rencontré Atmânanda, qui; avec Vijayananda, ont été les deux Occidentaux à faire partie pendant plusieurs décennies des ashrams de Mâ. Atmânanda avait eu une éducation cosmopolite dans la Vienne d’avant la première guerre. Elle s’est intéressée après le conflit mondial à la théosophie; puis a suivi J.Krishnamurti d’abord en Hollande et ensuite en Inde, à Bénarès. Après dix ans environ à enseigner à son école de Rajghat; elle a été déçue par le caractère peu pratique des conseils de Krishnamurti sur la vie intérieure et sur le manque d’évolution du personnel et des enfants de l’école où elle enseignait; elle s’est alors progressivement tournée vers Mâ pour rentrer finalement dans ses ashrams en 1946. Elle y restera jusqu’à sa mort en 1985. Venant de chez Krishnamurti; elle a eu des difficultés à accepter le bien-fondé des règles brahmaniques; mais s’est finalement mise à les pratiquer avec beaucoup de soin, à cause de l’amour intense qu’elle ressentait pour Mâ.
Ce livre est né de la première rencontre de Madou non seulement avec Atmânanda mais aussi avec les ashrams de Mâ et l'Inde. Atmânanda était la seule femme occidentale à être restée à vie auprès de Mâ et à avoir pris avec elle l'habit orange. Le texte de cet ouvrage est basé pour la plus grande partie sur la transcription d'enregistrements, ce qui permet de mieux apprécier la gentillesse et la spontanéité d'Atmânanda quand elle parle de Mâ et de sa vie auprès d'elle. Ceux qui ne connaissent guère ou pas du tout le milieu des ashrams de Mâ trouveront toute sorte d'explications utiles et de détails intéressants dans ces écrits, et pourront mieux se figurer la vie là-bas. Quand on rapproche ces textes du journal d'Atmânanda rédigés surtout dans sa jeunesse et dans ses débuts avec Mâ, on apprécie mieux la sérénité et l'équilibre qu'elle a pu trouver dans sa vie à Kalyanvan, à l'extérieur de Dehradun (au nord de Delhi) et au pied de l'Himalaya, où elle a passé toute la dernière partie de sa vie.
Elle a travaillé avec persévérance pour traduire les paroles de Mâ et textes sur elle pendant des dizaines d’années, et ce que nous avons à propos de Mâ en anglais, et par là dans les autres langues européennes, est en grande partie du à ses traductions. Elle a aussi été pendant longtemps l’éditrice d’Ananda Varta, le journal de la Sangha de Mâ. Ce livre n’est plus disponible en librairie, mais seulement sur le site internet.
Le journal ‘Jay Mâ’ a été commencé à l’initiative d’Atmânanda et de Danielle Perez en 1985. Revoir son premier numéro a été sans doute le dernier travail éditorial qu’ait fait Atmânanda avant sa mort inattendue en septembre 85. Depuis, il se poursuit et a même développé significativement son audience depuis le Centenaire de la naissance de Mâ en 1996. Il permet d’offrir chaque trimestre aux lecteurs francophones un choix de paroles de Mâ à méditer; des réponses de Vijayânanda; des contributions de Swami Nirgunananda, le dernier secrétaire privé de Mâ qui a été quinze ans ermite en Himalaya et qui est invité maintenant en France chaque été pour animer des retraites autour de l’enseignement de Mâ ; des traductions de textes de, ou sur Mâ, non seulement de l’anglais, mais aussi parfois de l’hindi directement.. Sont ajoutées à cela quelques nouvelles des ashrams en Inde et d’évènements ou publications en français ou en anglais concernant Mâ. Les nouveaux numéros sont ajoutés à la série en principe au fur et à mesure de leur publication.
C’est désormais Geneviève Koevoets (Mahâjyoti) de Nice qui s’est chargée de sa coordination depuis l’automne 2006 et qui en assure, bénévolement, la composition depuis le printemps 2009, avec la supervision du Dr Jacques Vigne.
Patrick Mandala a fait souvent référence à Mâ Anandamayî dans ses ouvrages et donnant ici bibliographie de ses principaux livres dont en préparation une trilogie sur Mâ et son enseignement : trois volumes qui seront publiés dans les trois années à venir par les éditions Accarias–l’Originel (Paris). Ses livres seront constitués de paroles, satsangs, témoignages, anecdotes, histoires et évènement de la vie de Mâ racontés par elle-même : tous seront inédits en français (certaines sources anciennes viennent, entre autres des volumes de Gurupriya Dévi, a proche disciple).
Patrick Mandala parle aussi de Mâ dans ses divers autres livres : ceci nous permet de compléter la bibliographie d’Anandamayî donnée ci-dessus:
- Guru-Kripâ : l'enseignement vivant de Mâ Anandamayî, Swami Ramdas, Shri Ramakrishna. Préface d’Indira Gandhi, introduction d'Arnaud Desjardins éditions Dervy, 1984
- la voix du cœur : anthologie de poèmes mystiques de l'Inde (XIe au XVIIIe siècle) notes et commentaires à la lumière de l'enseignement de Mâ Anandamayî. Editions Chiron, 1996 (Paris).
- le yoga de la Bhagavad-Gîtâ ou le secret de l'action. Commentaires rédigés à la lumière de Mâ Anandamayî, éditions Accarias-L’Originel, 1998 (Paris). Préface d'Arnaud Desjardins
- le Yoga-vâsishtha : l'expérience de la non dualité. Point de vue et notes rédigées à la lumière de Mâ Anandamayî, de Ramana Maharshi, Swami Prajnapad, J.Krishnamurti et le Bouddha. Préface de Denise Desjardins. éditions Accarias-l’Originel, 2003 (Paris)
- Aux sources de la sagesse : paroles de sagesse de la Grèce antique et de l'Inde ; de Thalès à l’Aéropagite, des védas à Mâ Anandamayî. Préface de Jean Yves Leloup. éditions Accarias-l’Originel, janvier 2003 (Paris)
- " joy" : rencontre avec Mâ Anandamayî, paroles, satsangs inédits (de 1953 à 1982). Trois volumes. Editions Accarias-l’Originel.
- "Shûnyatâ. La Voie de la tranquilité". Accarias-L'Originel, 2014.
- *"Plénitude de l'être". Srî Gnânânanda et Henri Le Saux. Vie et enseignement. Accarias-L'Originel, avril 2015
- *"Le Yoga de Râmdâs". Ed.Almora, mai 2015
- * "Regards sur la voie spirituelle". Entretiens avec Jean-Yves Leloup, Gilles Farcet et Jacques Vigne.
- *"Parole révélée".Râmana Mahârshi. Ed.Accarias-L'Originel, 2016
- *"L'Enseignement suprême". 350 aphorismes de Râmana Mahârshi (Guru Râmana Vâchana Mâlâ). Ed.Almora, 2016
- *Laghu Yoga-Vâsishtha (Almora ou Jean-Louis Accarias)
- *Poésie de Lallâ et Akka Mahâ Devî (Almora?)
- La Bhagavad-Gîtâ traduite et commentée par Gandhi (Traduction de l’anglais, notes et postface de Patrick Mandala)
- Un livre sur Lewis Thompson ‘Au cœur de l’éveil’ réflexions spirituelles et philosophiques d’un poète sage anglais, qui a beaucoup évoqué aussi Mâ Anandamayî