Extrait
chapitre
numéro
83

JayMâ-n°138

Cette brochure représente un lien d'amour avec l'Inde, avec Mâ, avec les Swamis, les lectures, les voyages...

Jay Mâ n°138

(AUTOMNE 2020)

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Ma Anandamayi


Editorial

Notre JAY MA reprend son cours, le coronavirus est devenu le covid19, les rencontres sont devenues des visio-conférences, le monde a repris une partie de son rythme, l’espoir a repris ses droits, la nature aussi… Et Jacques Vigne sera l’intervenant de l’émission ‘Sagesses Bouddhistes’ sur France 2, le Dimanche 9 Août à 8h30…sur ‘Le parcours extraordinaire de Tenzin Palmo, moniale bouddhiste’. C’est pourquoi je vous envoie ce JAY MA en avance…




Paroles et Souvenirs de Mâ

Une Introduction à la Philosophie
de la Connaissance Absolue de Sri Mâ Anandamayî


Kédarnath Swamî (l’auteur du livre ‘Une introduction à la philosophie de la Connaissance Absolue de Shri Mâ Anandamayî’) fait partie de la dernière génération des disciples de Mâ. Il a maintenant environ 75 ans, et a en fait succédé à un gourou qu’il avait dans cette ville, avant et pendant qu’il rencontrait Mâ. Il a créé aussi un ashram avec une école d’environ 120 élèves, sur l’île d’Omkarashwar au milieu du cours de la Narmada dans le centre de l’Inde. C’est un écrivain engagé, avec une vingtaine de titres, petits ou grands, à son actif, y compris trois volumes qui présentent et commentent le contenu de ses entretiens avec Mâ. C’est aussi l’un des animateurs principaux de la samyam-sapta à l’ashram de Bhimpura sur les bords de la Narmada. Il cherche à rapprocher dans son œuvre l’hindouisme et l’enseignement du Bouddha. Il a au fond de son ashram d'Indore un temple dédié à celui-ci. Vigyânanand (Jacques Vigne) est en train de traduire du hindi en français et anglais, son petit livre avec une étude approfondie de la notion de samadhi dans les Yogasutra de Patanjali. (Suite) =

Il apparaît clairement, à la lecture de ces tous derniers chapitres, que l’intention fondamentale des deux maîtres n’est pas d’enseigner une Vérité qui s’oppose à elle-même. Ils ne soutiennent pas des idéologies différentes. Ils parlent d’une Vérité qui est une et identique à elle-même. Ce fait devient encore plus apparent lorsqu’on découvre que tous deux, comme au sortir d’une certaine ignorance (Avidyâ), vont jusqu’à répéter les mots employés par la Mândukya Upanishad. En effet, l’un et l’autre déclarent que la connaissance du Paramârtha (la signification suprême ou l’ultime réalité pour laquelle Gaudapâda emploie le mot ‘Advaita’ et Nâgârjuna le mot Shûnya) engendre la cessation des structures de la pensée. Elle est le présage d’heureux auspices (prapancopsamam), et de paix (santâm) et elle est dépourvue de dualité.

Faisons maintenant un résumé de l’ensemble du sujet. Après une étude impartiale et un examen attentif de la philosophie de Gaudapâda et de Nâgârjuna, nous sommes arrivés à la conclusion suivante : les écoles d’ ‘Advaita’ et ‘Shûnya’, de la non-dualité et du vide ou néant, ne sont en aucune manière des écoles de pensées rivales mais bien plutôt deux organismes qui se complètent l’un l’autre. Il devient plus facile de saisir la vérité de cet état de fait lorsqu’on réalise que ‘la réfutation du monde n’est qu’une assertion ontologique de la non-dualité de la Réalité’.

Cette perception fait de la doctrine de la ‘Non-Identité’ et de la ‘Non-Origination’ la réalisation ontologique de l’‘Identité-Absolue’ et de la ‘Non-dualité-Absolue’. Ensemble elles ont pour effet de rendre totale et définitive la réalisation de la Vérité. Aux dires de Srî Ânandamayî Mâ, dès l’instant où nous pensons à la Réalité en termes de doctrine, nous la conditionnons, nous lui attribuons une limite et toute la perception que nous avons de la Vérité s’en trouve faussée et donc conditionnée. Le Shûnya, pour Mâ, est une réalisation intérieure du silence de la Vérité ‘non-Duelle’, quant à l’Advaita c’est la perception des possibilités infinies du ‘Vide’. Ensemble ils forment Un-Tout qui englobe tout et où rien n’est exclu. Si nous étions en mesure de voir la vérité de Mâ selon laquelle ‘toute négation est une affirmation de quelque chose et toute assertion est la négation de quelque chose’, alors notre attitude préconçue et partiale et notre vue à sens unique seraient annihilés et fusionneraient en une perception qui ne serait ni oui, ni non. Ce serait le silence de l’Être Suprême qui peut signifier toute chose pour tout un chacun – le Grand Néant ou le Grand Yâ Tâ. Il s’agit, en ultime analyse, de la réalisation du Yâ Tâ de la Non-identité, c’est-à-dire de son acceptation complète, ou déconstruction totale (Shûnya) et de l’Identité-Absolue ou Affirmation Totale (Advaita) tout en même temps. Selon Mâ, c’est là la plus haute vérité (uttamam satyam).

Ainsi se présente sa philosophie de la Connaissance Absolue.


FIN du chapitre 5

Traduit de l’anglais par Jean E. LOUIS
Extrait d’un chapitre du livre ‘An Introduction to Sri Anandamayî Mâ’s Philosophy of Absolute Cognition’ - De page 120 à 145 – que l’on peut commander à Sri Bhupendra Sharma – Book Stall P.O. Kankhal Haridwar, 249408 (U.K.) Inde – Tel : 0091-9897326822 et bpbhupendra@yahoo.com – 0091-9837854522 – (On peut lui commander le livre et le régler par versement international).


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Par Madhavi De Silva

MDU Hospital, Colombo, Sri Lanka.

Je vous ai déjà présenté Madhavi et le drame qu’elle est en train de vivre dans le dernier numéro du JAY MA…Madhavi a connu Jacques et Swami Vijayânanda il y a une vingtaine d’années, elle est venue méditer à l’ashram de Mâ à Kankhal et a même effectué une petite retraite à l’ermitage de Dhaulchina. Elle a vécu dix ans en Inde puis est retournée dans son pays natal, le Sri Lanka. Elle a été atteinte d’un cancer du sein qui a semblé guérir mais a rechuté avec une grave métastase au bras qui a obligé à une amputation il y a quelques mois. Elle a maintenant trente-neuf ans et elle envoie parfois des poèmes à Jacques Vigne, qui retournera la visiter dans sa maison familiale près de Colombo.

Madhavi a de nouveau envoyé à Jacques un magnifique poème, dédié à sa ‘douce doctoresse’…sa ‘Sweet Doctor’…Il nous le fait partager (en anglais et en français) :

Madhavi De Silva


Cancer Battle - Reloaded

May 5 · 2020


My Sweet Doctor, smiles at me and says

“I’m Jealous of you, Madhavi”

First I did not understand

‘Jealous’? Of me ? Why?


My Sweet Doctor again smiles at me

and says “How lucky you are…!”

It made me think and dig deeper

Found the answer I smiled too.


I get to watch movies,

while she has to watch my medical report

I get to read nice books,

while she has to look for new medicines

I get to relax most of my time,

while she runs here and there

I get to write anything I want,

while she has to write prescriptions

I get time for analysis and meditation,

while she takes all my tension

I get time to help someone, even by a word,

while she takes care of my sickness


I may be down with a lethal illness,

but still I have a journey of survival

Thank you so much my dear Doctor,

for lifting "the way of thinking higher"


Madhavi De Silva
KDU Hospital, Colombo, Sri Lanka, Le 6 février 2020




Ma Sweet Doctor m’a souri et m’a dit :

« Je suis jalouse de vous ma jolie Madhavi »

Tout d’abord je dois dire que je n’ai pas compris

Etre jalouse ? De moi ? Pourquoi parler ainsi ?


Alors ma Sweet Doctor en souriant m’a redit :

« Vous avez de la chance et moi je vous envie… ! »

Ça m’a fait réfléchir jusqu’au fond de moi-même

Pour trouver la réponse et sourire quand même.


C’est vrai, je vois des films, c’est bon pour le moral

Alors qu’elle examine mon dossier médical.

C’est vrai que je peux lire des livres, j’ai le temps,

Alors qu’elle est en quête de mes médicaments.


C’est vrai j’ai des loisirs, je peux me relaxer

Alors qu’elle est toujours en train de se presser.

Souvent même j’écris et me mets à penser

Alors qu’elle, elle prescrit et doit se concentrer.


Je peux prendre mon temps pour la méditation

Alors qu’elle se penche pour prendre ma tension.

J’aime pouvoir aider, par un mot, un sourire

Alors qu’elle prend soin du moindre de mes soupirs…


Je lutte et je me bats contre un mal sans pitié  

Mais j’ai encore la chance de survivre une journée.

Merci ma Sweet Doctor pour m’avoir redonné

‘L’occasion et la joie d’élever mes pensées’.


Madhavi De Silva
(Traduction libre de Geneviève-Mahâjyoti)

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Article écrit par

Mme Tara Gandhi Bhattacharjee

Petite fille du Mahatma Gandhi
Le 06 juin 2020



Tara Gandhi_Bhattacharjee

Présidente - Musée national de Gandhi

Présidente- Fondation pour le souvenir de Kasturba Gandhi Ex-présidente : Mouvement « Sauvons le Gange »


Le 6 juin 2020


Chers amis,

Avec vous tous, je suis également saisie d’une douleur profonde devant ces nombreux millions de personnes à travers le monde qui ont été confrontées à des souffrances aussi incroyables qu’incommensurables. Je me joins à vous pour exprimer notre estime et notre gratitude sincères à tous ceux qui risquent leur vie pour aider et servir ceux dans le besoin et la société au sens large. Nous sommes ensemble dans la prière. Je souhaite partager avec vous les réflexions suivantes :

La pandémie de coronavirus a ébranlé l'âme de l’être humain.

La loi cosmique de la justice s’est prononcée avec une fureur sans précédent et inattendue sur la race humaine qui peuple la planète. Cependant, cette fureur cosmique a réveillé l'âme humaine abimée et angoissée à une autre réalité, celle de la réalisation spirituelle qui est d’un intérêt central pour l’humanité. Depuis des années maintenant, mon esprit et mon âme sont hantés et mis à défi par cette question qu’aujourd'hui, je veux partager avec vous comme aussi une réflexion qui stimule :

Cela fait longtemps que j'ai le sentiment que l'être humain n'est certainement pas la vie la plus importante dans la création. C'est un concept qu’il s’est forgé lui-même de toutes pièces, aspirant à ce que son existence soit en haut de l’échelle. Même au niveau intellectuel et spirituel le plus élevé, les êtres humains ne peuvent penser et agir que dans le cadre des limites de leur esprit. Que savons-nous des autres vies ? Qu'il s'agisse des insectes, des animaux, des plantes ou de l'environnement, nous ne connaissons pratiquement rien sur la façon dont ces plantes se parlent les unes aux autres ou dont ces animaux ou ces insectes communiquent entre eux. Quelle est leur philosophie ? Nous n’en savons rien, mais au moins, nous savons que nous ne savons rien sur ces autres vies.

Ceci rabaisse notre prétention que de constater la chose suivante : si l'humanité est anéantie sur cette planète, l'environnement n’en éprouvera aucun manque. En fait, celui-ci et toutes les autres formes de vie se porteront fort bien sans nous. Cette pandémie a vraiment prouvé que la nature peut vivre magnifiquement sans l'existence des êtres humains.

Même depuis ma modeste maison, je suis soudain capable de voir tant de fleurs rares au parfum agréable. Je peux aussi entendre dans ma maison les différents chants de charmants oiseaux que je n'avais jamais perçus auparavant. Cela me réjouit au plus haut point de voir ces oiseaux aussi beaux que rares dans la petite cour de ma maison.

Avec l'émergence de la pureté d’une nature et d’un l'environnement qui n’a pas peur, les êtres humains perçoivent également l'éveil de leur âme à une plus grande compassion les uns pour les autres ainsi que pour toutes les autres formes de vie.

Afin d'apporter un peu de joie autour de moi et pour les autres, j'ai dit à mes amis au téléphone : "À ce stade de ma vie (Taraji a maintenant 86 ans et vit dans le sud de Delhi), j'ai enfin trouvé un compagnon de vie. Il s'appelle « Mr Solitude » et il m’a incitée à une plus grande introspection.

La création entière est enveloppée d’un filet cosmique. Le destin se joue dans les limites de ce filet. Pendant qu’il effectue son jeu, nous, en tant qu'êtres humains, devons demeurer dans la compassion et la non-violence les uns envers les autres et envers chaque manifestation de la vie. Nous sommes tous ensemble réunis dans un processus d’éveil spirituel grâce à la conscience de cette justesse qui guide l’être humain à partir du fond du cœur.

L'homme pollue les quatre éléments, la terre, la mer, le feu et l'air. Avec la négativité et la violence de notre esprit, nous avons la capacité de polluer aussi l'espace. C’est justement ce qu’il faut éviter.

Le Pape François a dit une fois à plusieurs reprises lors d'une audience publique, en cinq langues différentes : "Le Créateur nous pardonne toujours mais ce qui est créé ne pardonne jamais". Travaillons ensemble, et faisons de notre mieux, pour un avenir où chaque vie respecte les autres. Travaillons à un monde où l'esprit humain est libre de violence et l'environnement libre de pollution.

Avec vous,


Tara Gandhi Bhattacharjee

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Vie et enseignement

de MÂ Ananda Mayi

Ecrit et envoyé par Nicole Archambault,
suite à l’une des rencontres qu’elle organise pour Jacques Vigne,
à Nantes, pour son association ‘Yogarasa’
www.yogarasa.fr - 06 23 83 08 50 - 02 40 29 35 96


Nicole a enseigné l’allemand, y compris dans les classes préparatoires. Une fois à la retraite, elle s’est mise à la fois au hatha-yoga et au sanskrit, elle enseigne les deux maintenant dans le cadre d’une association qu’elle a fondée, Yogarasa, qui signifie le « goût » ou « l’essence » du yoga. Elle travaille le sanskrit avec Yves Baudron de Gretz. Elle est venue à des voyages en Inde avec Jacques Vigne, y compris à l’ashram de Mâ où elle a rencontré Vijayânanda. Elle organise pour Jacques des séminaires de méditation à Nantes, avec en particulier, un événement à la Toussaint 2020 en coanimation avec Andreas Freund, un physicien quantique de carrière, passionné par la méditation.

Biographie :

La grande Sage de l’Inde du XXème siècle, connue sous le nom de Mâ ou bien encore Mâ Anandamayî, ou Mataji naquit à Khéora dans le district de Tripuri (aujourd’hui ce village fait partie du Bengladesh, sa population était à majorité musulmane). Elle s’appelait alors Nirmalâ(1) Sundarî Devî. Elle naquit le 30 avril 1896 et mourut à l’âge de 84 ans à Kankhal le 27 août 1982, là où se trouve aujourd’hui son ‘samadhi’. Comme nous pouvons le constater, elle fut quasi contemporaine de Shri Nisargadatta Maharaj (1897-1981) et de Bhagavan Ramana Maharshi (1879-1950). Elle est également très célèbre et considérée par un grand nombre d’indiens comme un avatar
En tant que Français nous bénéficions de deux célèbres disciples de Mâ : Vijayânanda qui mourut à l’ashram de Kankhal le Lundi de Pâques 5 avril 2010 après 50 années passées à ses pieds sans jamais retourner une seule fois en France. Puis ce docteur français fit un autre émule en la personne du Dr Jacques Vigne, lui-même disciple de Vijayânanda, qui depuis 30 ans se partage entre la France et l’Inde (essentiellement aujourd’hui dans l’ermitage de Dhaulchina , que Mâ utilisait pour y envoyer ses disciples en solitude). Jacques vint à Pâques 2020 faire un stage de méditation de trois jours, grand spécialiste de la méditation guidée, en position assise, allongée et en marche. Il allie science et spiritualité dans ses recherches. Et à Pâques de l’année prochaine il fera un autre stage, résidentiel ce dernier, en collaboration avec Andreas Freund sur le thème « méditation et expérience vécue : vers une science de la manifestation. »

Nous terminons donc notre atelier sur « qui suis-je » avec cette merveilleuse Sage, au féminin donc. Elle est à la fois une femme toute simple, obéissante, ordinaire dans la vie sociale et extraordinaire au plan spirituel, accomplissant des miracles, infatigable à l’écoute des maux des autres, se donnant elle-même l’initiation pour prétendre à un rôle de « maître spirituel ». Il n’y a pas de féminin au nom Guru, alors les disciples prirent l’habitude de l’appeler Mâ /mère, en signe de révérence.

Sa famille : était de caste brahmanique, et selon la tradition on l’éleva dans la perspective  du mariage, ce qui fut fait dès sa puberté’, à l’âge de 12ans. Ses parents étaient de fervents vishnouïtes, sa mère écrivait des poèmes mystiques, composait de la musique et son père avait été un ascète après la mort de leur première fille, puis il vint reprendre une vie de famille. Mokshada, sa mère alors enceinte d’elle, rêvait de Dieux et de Déesses qui entraient dans son humble demeure. Elle ne ressentit aucune douleur lors de l’accouchement, au sortir de l’utérus l’enfant ni ne pleura ni ne cria…

Toute petite, l’enfant n’exprima pas de désir pour elle-même. Elle était joyeuse d’où son surnom de hâsi/sourire et de khushir/la joyeuse. Serviable, elle était l’amie de tous, hindous et musulmans (comme nous le savons majoritaires dans son village).

Elle obéissait sans sourciller aux grandes personnes, à la tradition. Sa mère eut d’autres enfants et Nirmalâ l’aida à les élever, et n’alla de ce fait que deux ans à l’école primaire. Elle accompagnait son père aux offices religieux et chantait avec lui des chants sacrés, mais ne reçut pas d’instruction religieuse particulière.

Elle ne pleurait jamais, sauf à la mort de ses trois frères, et ses sanglots firent oublier à sa mère qu’elle sombrait dans le chagrin (technique de soin dont elle usa plus tard)

Elle était souvent muette, absente « ailleurs » comme on dit, ce qui laissa croire à ses parents, aux adultes qui l’entouraient, qu’elle était simple d’esprit. En effet au milieu d’une tâche, d’un jeu, l’enfant devenait tout à coup inerte, le regard fixe, et quand elle revenait à elle, elle paraissait revenir de très loin. On la laissait faire, tellement elle paraissait placide face aux demandes d’adultes pour qu’elle revienne à ses sens, placide aussi face à la nourriture, aux vêtements.

A 12 ans donc on la maria à Bolonath. Mais après le mariage elle retourna habiter chez ses parents pendant un an, selon la coutume. Puis elle rejoignit la famille de son mari, mais eut la chance que son époux respecta son vœu de chasteté, car son état méditatif, tout son être, la portait vers une vie d’ascète. Sa belle-famille s’étonna de sa dextérité, de sa rapidité, et de la précision de ses gestes, ainsi que de sa capacité à abattre un énorme travail. Très vite elle manifesta des expériences mystiques et son mari devint dès lors son 1er disciple. Elle le servait comme son père, et ce dernier eut une foi totale en elle. Une sorte d’aura entourait Nirmala, ce qui enlevait à son mari tout désir humain. (Il sut tenir tête à sa famille qui voulait lui donner une autre épouse afin d’avoir des enfants).

Jean et Josette Herbert rapportent dans leur préface que Mâ serait parvenue à allumer un feu par un simple geste, à faire cesser la pluie qui perturbait une cérémonie religieuse, à faire cacher le soleil par les nuages quand la chaleur devenait trop forte. (Citer aussi l’anecdote de Vijayânanda).

Très étonnante aussi pouvait paraître son omniscience, malgré la brièveté d’instruction classique et religieuse qu’elle reçut. Quand on l’interrogeait sur quels que courants, écoles, pratiques que ce soient, elle semblait connaître toutes les voies. A la question qu’on lui posait sur son appartenance religieuse, elle répondait : « tout ce que vous voudrez »

On dit aussi qu’elle citait à un chrétien un passage de la bible qui lui correspondait, alors qu’elle ne la lisait pas.

De 1918 à 1923 elle joue le rôle de sadhikâ, d’une ascète. Cette décision lui vint de son Kheyala (acte intérieur de la réalité suprême qui se manifeste extérieurement). Traditionnellement l’ascète passe par un apprentissage des techniques spirituelles comme les mantras, ou le yoga, mais sans les avoir apprises… Elle les aurait récitées et aurait commencé à prendre spontanément des postures ‘yoguiques’ en méditation. Elle témoigna durant tout ce temps que dans ce Corps-ci, le sien, il se produisit une sorte d’ignorance (ajnana) mais selon elle, c’était une connaissance déguisée en ignorance. Elle ajoute : « un voile sépare l’homme de son propre Soi, et ce voile doit être progressivement usé par la sadhana, or dans ce cas –ci aucun voile ne s’interposait, c’est par jeu qu’il avait été amené pour ensuite être retiré ». Elle imita sa mère quant aux différentes pratiques quotidiennes de sa sadhana, sans rien éliminer des tâches domestiques. A dix-huit ans, elle est très belle, et certains voisins, dévots, la prennent pour Durga (l’épouse de Shiva).

Selon l’ouvrage de Josette Herbert (p13), le 3 août 1922, elle se donna à elle-même l’initiation. Elle n’eut jamais aucun guru au sens habituel. Elle découvrit les gestes, les mots, spontanément : dessin d’un yantra qui émana de ses doigts, puis un bija mantra, lui vint du plus profond d’elle-même. Elle l’inscrivit à l’intérieur du yantra tracé au sol. Elle se mit à répéter le mantra et prit conscience que mantra, guru, elle et l’Ishta-devata ne faisait qu’un. Cette auto-initiation fut suivie de phénomènes d’extases pouvant durer jusqu’à 12h, pendant lesquels son corps serait devenu froid, de glace, puis au sortir du samadhi, tout son être paraissait submergé de joie. Elle ne ressentait plus alors le besoin de manger, ni de dormir, ni de boire. Des mantras sortaient de ses lèvres qu’elle prononçait tantôt d’une voix douce comme la brise du soir, tantôt d’une voix rauque telle une épée acérée. Rires, pleurs accompagnaient ses chants. Longs silences, absorption dans un monde intérieur hors du temps faisaient suite aux chants. Quelques paroles mi-sanskrites, mi-langue vernaculaire lui échappaient par moments. Ses sorties de samadhi inondaient non seulement tout son être mais tout son entourage, c’était comme s’il jaillissait de son corps une lumière si brillante que tout l’espace autour d’elle était illuminé.

Anandamayi était son nom religieux qui signifie « faite de béatitude », il lui fut donné par son premier disciple Bhaiiji.

Cette initiation lui conféra des pouvoirs divins : à cette époque, le fait de lui toucher les pieds pouvait vous rendre inconscient. L’endroit où elle s’asseyait était brûlant.

5 mois après son initiation, ce fut le tour de son mari qui reçut d’elle l’initiation au jour et à l’heure qu’elle avait prévus. Il la soutint, alors qu’en Inde il n’y avait pas de femme gourou, ou maître spirituel.

De 1922 à 1925 elle observa un silence quasi complet. Son visage était alors de pierre et nul ne savait si elle le reconnaissait.

En 1924 ils déménagèrent à Dacca. Elle devait alors suivre son mari dans un nouveau poste. Ses extases continuaient (chute dans la pièce d’eau pendant plusieurs heures)

Puis en 1925 suivit un jeûne sévère de 4 à 5 mois (9 grains de riz par jour, deux ou trois fois de l’eau par jour). Elle explique sa survie (p17) comme un miracle. A partir de 1926, elle  perd l’habitude de porter la nourriture à sa bouche, c’est une de ses disciples proches qui en eut la charge. A ce propos elle disait « je considère toutes les mains comme les miennes, en réalité je mange toujours de ma propre main ».

Première apparition en public, en 1925, elle accepte de célébrer la Kâli puja. Or, elle dépose sur sa propre tête des fleurs et du santal qui auraient dû être sur la statue de kâli (p18). Des témoins oculaires parlent d’une transformation physique de ses traits : tantôt Mâ apparaît comme Kâli, sombre et terrifiante, tantôt éclatant de gloire, de beauté et de béatitude comme Durga. Un jour ce fut encore plus magistral le jour de l’anniversaire de krishna. Sans déguisement ses traits se transformèrent totalement en ceux de Krishna

A partir de 1926 les miracles se multiplient : elle arrête des inondations, des sécheresses, guérit des malades, donne à chacun ce dont il a besoin, a le don de prémonition, d’ubiquité, etc…

Les disciples : se mettent à affluer, hindous, musulmans, chrétiens d’Europe et d’Amérique. Sans cesse en déplacement dans la basse vallée du Gange (de Bénarès à Dacca) elle laisse se fonder en divers endroits des ashrams, qu’elle visite à l’occasion. Cette façon d’agir est, elle aussi, insolite de même que l’est sa façon d’enseigner. En 1926, Didi, la fille d’un chirurgien de Dacca se présente. Mâ lui dit alors pour l’accueillir : « Où étiez-vous pendant tout ce temps ? » comme si elles se connaissaient depuis toujours !! Didi fut sa plus fidèle disciple qui assura l’administration des ashrams jusqu’en 1955, en particulier de l’ashram principal de Kankhal.

A compter de 1926, elle voyage beaucoup entre le nord et le centre de l’Inde, le Bengale, Calcutta, mais aussi Bénarès, Dacca, Kankhal, Deradhun… autant de villes où elle fonda des ashrams avec l’aide de ses nombreux disciples. Elle n’hésitait pas à dormir ‘à la dure’ en des lieux reculés, insalubres, dans des temples, si son ‘kheyala’ l’y conduisait. On aurait dit qu’elle pratiquait ce vœu des moines errants (sans toit et jamais plus d’une semaine à la même place). Certains témoignent que la suivre n’était pas à la portée de tous. Elle emmenait souvent sa mère, quelques parents lors de ses voyages, où Bolonath la suivait partout et tout le temps. (A suivre…)



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SURRENDER…

en souvenir de ‘La Mère’ et de Shri Aurobindo
Le lâcher prise…


Mère de Shri Aurobindo

Abandonnez-vous complètement au Divin

et vous deviendrez totalement libre.

La seule façon d’être vraiment libre

est de vous abandonner entièrement au Divin,

sans restriction,

parce que tout ce qui vous lie,

vous attache,

vous enchaîne,

se détache alors naturellement de vous

et n’a plus aucune importance.


La Mère



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Poème

de l'Abbé Pierre

réconfortant par les temps qui courent...


(Envoyé par Anne Hérault) (22-11-2015)


" Je continuerai à croire, même si tout le monde perd l’espoir.

Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine.

Je continuerai à construire, même si les autres détruisent.

Je continuerai à parler de paix, même au milieu d'une guerre.

Je continuerai à illuminer, même au milieu de l'obscurité.

Je continuerai à semer, même si les autres piétinent la récolte.

Et je continuerai à crier, même si les autres se taisent.

Et je dessinerai des sourires sur des visages en larmes.

Et j'apporterai le soulagement, quand on verra la douleur.

Et j'offrirai des motifs de joie là où il n'y a que tristesse.

J'inviterai à marcher celui qui a décidé de s'arrêter...

Et je tendrai les bras à ceux qui se sentent épuisés. "



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SAD VANI

Paroles de vérité,
Paroles essentielles Sur Mâ Anandamayî
Traduites par Marie-France Martin


Introduction

Ces textes ont été rédigés par Jyotish Chandra Ray, qui était d’un commun accord le principal disciple de Ma, celui qui l’a le plus profondément comprise. Lorsqu’on parle de lui, on ne l’appelle presque jamais par son nom civil. Pour tous, il était « Bhaïji», le grand frère. Il explique, en 101 petits textes, l’essentiel de ce que Ma enseignait sur la pratique spirituelle.

Bhaïji était Bengali, et c’est dans cette langue qu’il écrivait ; le Bengali est une langue très proche du Hindi, et du reste dans le texte Hindi, beaucoup de mots Bengalis ont été gardés. Dans l’ashram ou j’ai vécu 5 ans, et où je retourne actuellement 6 mois par an, ces textes ont été étudiés en commun tous les matins pendant plus d’un an, à partir de la version Hindi.

Il existe une traduction en français « Aux sources de la joie » chez Albin Michel, dans la collection Spiritualité Vivante, mais elle a été faite à partir d’une traduction en Anglais. Elle s’éloigne parfois nettement du texte original, qui est beaucoup plus précis, plus fort, plus percutant. Je vais donc essayer une nouvelle traduction, à partir du texte Hindi, beaucoup plus littérale, quitte à laisser parfois les mots hindis ou sanscrits, en les expliquant, quand ils n’ont pas d’équivalent en Français. Les textes sont concis, donc beaucoup plus courts que ceux qui ont été publiés. Swami Vijayânanda disait souvent : « Le traducteur est un traître ». J’essaie de coller le plus possible au texte, de ne pas le rendre plus clair par mes interprétations, ma traduction manque donc souvent d’élégance.

Dans le champ de l’action, le manque de liberté, d’indépendance, rend l’homme infirme. C’est pareil dans le domaine spirituel. S’il ne dispose pas de l’espace mental dont il a besoin, la pratique spirituelle du sadhak (personne engagée sur la voie spirituelle, et qui fait des pratiques sérieuses pour progresser) s’en trouve rétrécie. Par conséquent, sur le chemin sur lequel il progresse, pour bénéficier de la force d’un état émotionnel pur, c’est en fonction de sa personnalité que chacun doit faire des efforts. Lorsque le fait d’atteindre le but sera vécu comme une nécessité vitale, tout ce qui est nécessaire se présentera tout seul.

Être attiré, c’est être transformé. Lorsque tu es attiré par une personne, un objet ou un état émotionnel, tu dois renoncer à quelque chose. Dans la mesure où tu renonceras, dans cette mesure-là, tu recevras, c’est évident. Il ne peut jamais arriver que tu puisses tout recevoir sans renoncer à rien ; parce que deux choses différentes ne peuvent pas se trouver à la même place au même moment, et aucun travail ne peut se faire sans renoncement. C’est dans la mesure où tu consacreras ton mental et ta force vitale à l’Être Divin, que les désirs et les impressions du passé diminueront. Et c’est à l’instant où tu seras attiré, transformé et où tu feras l’expérience du Divin, que ton mental sera dissous. D’accord, s’IL n’éveille pas cette attraction à l’intérieur, on n’est pas attiré mais même dans ces conditions, il faut faire de grands efforts pour obtenir cette expérience, Pour cela, il faut rester sans cesse sur le qui- vive, comme un homme d’affaire qui connaît, à tout moment, les cours du marché.

Si on reste à l’intérieur de limites en se fixant sur la notion d’unique, lorsque le but devient ferme, la barrière s’ouvre, l’un se révèle comme multiple et le multiple comme ‘un’. Pour obtenir la force d’atteindre le sans limites, il est bon d’avancer d’abord enfermé dans des limites. Tant que la conscience d’être un corps est puissante, il est bon de se maintenir dans les manières de penser et dans les lois du monde. Pour cela il faut de la force d’âme, de la tolérance. Même si la nature du monde est d’être instable, elle n’aide jamais celui qui est agité.


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De Pierre PASTEL (AFT)

qui a envoyé ses ‘salutations bienveillantes’
pendant tout le confinement
10-05-2020


SALUTATIONS BIENVEILLANTES

"Ne restons pas seul (e) s


"Je suis Silence.

Silence d’hier

Silence d’aujourd’hui

Silence de demain

Mais Silence qui apaise

Silence qui informe

Silence qui soutient

Silence qui protège

Silence qui régénère

Silence qui libère

Silence qui guérit

Silence qui construit

Silence qui rapproche

Silence énergie qui respecte tout Homme au-delà de l’Homme."


Pierre Pastel-Président de l’AFT
(Association Française du Transpersonnel)


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Extrait de

‘Regards sur la voie spirituelle’

Par Patrick Mandala


57.Vacuité


« Des grandes choses qui résident parmi nous,

L’existence du néant est la plus grande.

Il réside dans le temps et prolonge ses membres

Dans le passé et l’avenir ».

Lénonard de Vinci (Codex Atlanticus, 398 v.)


Étonnantes paroles de sagesse, même venant de ce génie visionnaire et humaniste que fut le Vinci, n’est-ce pas ? Nous sommes presque à l’opposé de cette épigramme du grec Glycon le sceptique (vers IVe s.), au ton proche du chaldéen Palladas (fin IVe s.) :

« Tout est rien. Tout est vide. Tout est farce grossière.

Nous sortons du chaos pour devenir poussière ».

Anthologie Palatine, X, 124.
P.M. Aux sources de la sagesse. Paroles des Sages de la Grèce antique et de l’Inde. Éd. Accarias-L’Originel, 2003


L’on sent bien là toute l’intensité dramatique et l’amertume grecque sur le monde et la comédie humaine.

Amis, vous venez tous trois de traditions spirituelles différentes (peut-être dans la forme, mais non dans le fond, bien entendu), aussi, quelle résonance la Vacuité trouve-t-elle en vous ? Vous accompagne-t-elle comme une « densité », une présence légère, ou comme une immatérialité, d’une discrétion absolue, telle la brume au petit matin ?

Votre chemin vous a certainement amené à rencontrer des bouddhistes qui ont témoigné du Parfait : Gilles, Arnaud et Denise Desjardins rencontrèrent de grands éveillés bouddhistes ; Jean-Yves, votre rencontre avec le zen fut aussi déterminante ; et vous, *Jacques*, et vous Atmananda vivant aux pieds des Himâlayas, et lors des manifestations interreligieuses que vous organisez à votre âshram de Rishikesh, avez établi des liens profonds avec des lama et des moines bouddhistes, n’est-ce pas ?

Pour ma part, ayant vécu plusieurs hivers à Darjeeling et à Kalimpong (West-Bengal), rencontré Kalou Rinpoché à Sonada (Darjeeling), Sa Sainteté le Dalaï-Lama, des lama et Rinpoché, étudié la culture et l’art tibétain avec Ushâ, écris sur eux1, la notion bouddhiste de vacuité, shûnyatâ, pénètre (sans s’opposer à) la notion hindoue de Plénitude, pûrna. De même celle de lîlâ, « Jeu » divin (monde des phénomènes) vu aussi comme « jeu » de la Vacuité, et duquel tout procède et retourne, tel le symbole du Mandala.

L’un des buts de la méditation n’est-il pas de demeurer dans l’état naturel de vacuité, de pur éveil, de tranquillité et de joie suprême ? Tout en réalisant comment cette même vacuité se manifeste dans le relatif, le monde des phénomènes, du samsâra. Cette juste perception est l’une des bases de la pratique.


Dit différemment : « Tout est neutre », ou « Que Ta volonté soit faite, non la mienne ».

Le Parfait dit explicitement : « La forme est vacuité ». Oui, car la lune se reflète sur l’eau, mais il n’y a pas de lune dans l’eau, et il n’y en a jamais eu. Aussi peut-on dire que « la vacuité elle-même est la forme ».

En vérité, ne croyez-vous pas que la compréhension de la Vacuité se trouve au-delà de toute formulation, ou concept ?

Jamais nous n’en verrons la naissance, la fin, ou le centre. Pure vastitude. Infinie expansion. Silence. Amour.

Dudjom Rinpoché citait le Dodé Kalpa Zangpo qui rapporte cette parole du Parfait :

« Comme dans un rêve je me manifeste à des êtres irréels et donne la Doctrine d’un

Dharma irréel, mais en réalité, je n’ai jamais enseigné et ne suis jamais venu ».

P.M. La Voie de l’éveil. L’enseignement de Dudjom Rinpoché. Éd. Accarias-L’Originel, 2004

Milarepa y fait écho dans son expérience de la Vacuité :

« Étouffant le démon de la croyance en l’ego,

Et m’élevant dans l’espace libre de tous concepts,

Je vis sans yeux le royaume du visible,

Entendis sans oreilles le son du silence,

Sentis sans nez le parfum de l’état naturel,

Goûtais sans bouche la saveur de la douce réalité,

Atteignais sans corps l’arc-en-ciel du Corps de vajra [Sceptre de Diamant : l’indestructible Vacuité]

Et fut absorbé sans mental dans l’état sans mental de Mahâmudrâ.

Eh Mâ ! Les trois niveaux des choses du samsâra

N’existent pas – ils sont justes comme ils nous apparaissent !

Oui ils apparaissent – et ne sont que pure vacuité !

Ceci est la nature de l’illusion du samsâra ».


Milarepa. En suivant le cours du torrent.


Selon vous, l’expérience de la Vacuité peut-elle être réalisée aussi à travers l’art, la musique, le verbe, ou l’écriture ? Réponse à la lumière de votre propre expérience.

En ce qui me concerne, je pense que seul l’amour, que seule la vacuité engendre une action créatrice véritable. (A suivre…)


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Encyclopédie des champs magnétiques

-Auras et Chakras-

Médecine Quantique

Préface du Dr JACQUES VIGNE
- MÉDECIN PSYCHIATRE


Françoise Avril en est l’auteur

Mère de quatre enfants, et grand-maman de petits enfants, elle se passionne tout au long de sa carrière en tant qu’infirmière DE, spécialisée en gérontologie pour l’être humain dans toute sa splendeur et ses faiblesses. Elle parcourt le monde à la recherche de qui elle est et des mystères du monde.

Auteur de plusieurs ouvrages sur la santé, dont cet ouvrage retravaillé et enrichi, psychopédagogue généalogiste, sophrologue relaxologue initiée par de nombreuses traditions anciennes, elle est reconnue comme faisant partie des leurs  par  les  Otomis  et  les  Toltèques (20 mars 2004) Mexique 8000 tambours Teotihuacan.

Elle rencontre de nombreux maîtres spirituels à travers le monde, en passant par l’Inde, l’Égypte, Israël, Mexique et Pérou, dont trois d’entre eux resteront gravés dans sa mémoire et dans sa vie: Sai Baba (Inde du Sud) Govindan (Canada) et moojiBaba (Portugal).

Françoise poursuivra ses recherches avec des neuroscientifiques de renom : Bernard Michel Boissier, Idriss Aberkane, Gregg Braden et Nassin Harameen.


EXTRAIT de la Préface de Jacques Vigne

Je connais maintenant Françoise depuis une vingtaine d’années. Je peux dire qu’elle a été depuis longtemps, déjà durant toute sa vie d’infirmière, en première ligne devant la souffrance humaine. Ceci lui donne, au-delà des connaissances, une expérience humaine directe et profonde pour pouvoir mieux aborder les thèmes de ce livre, qui touchent à la guérison, au développement de la personne et à son épanouissement spirituel. Elle a aussi de par son métier une habitude de la médecine scientifique, pratiquée dans le cadre d’une médecine active pendant une quarantaine d’année, ce n’est pas rien. Si on doit poser une perfusion sous-clavière, il ne faut pas se tromper d’endroit et éviter les fausses manipulations qui pourraient mener à une infection et une septicémie. C’est un niveau de réalité concrète qu’elle connaît très bien.

Maintenant qu’elle est à la retraite, elle en profite pour travailler plus sur les sujets de recherches qui la passionnent, à les élargir et à les approfondir. Elle a déjà écrit un livre sur les chakras, qui a été un succès de librairie. Sans doute, l’habitude du contact avec des publics en tous genres à travers sa profession d’infirmière l’a habituée à parler pour être comprise. Même nombre de bons chercheurs en sciences par exemple n’ont pas ce don......Jacques vigne.....


Chapitre 1 page 21

Extrait du livre sur : LES MYSTERES DU CERVEAU

Préparer son cerveau à accueillir la conscience qui fascine, où tant d'êtres aspirent depuis que le monde est monde, où cette entité la plus complexe de l'univers est sur cette terre.

Le cerveau m'a toujours passionné. Il est resté un grand mystère pour moi, mystère inconscient bien enfoui!

Nous ne parlerons pas de la ‘neuroplasticité’ (cerveau permettant de modifier sa propre structure, formant de nouveaux circuits, que l'on nomme Télomères, ou un amas de neurones grâce à l'expérience mentale) qui sera sans aucun doute la médecine du futur.

Il semble que cette future médecine soit déjà à l'œuvre depuis très longtemps, depuis que les humains peuvent la nommer miracles, ou guérisons spectaculaires, ou spontanées, mais qui en réalité sont provoquées par le sujet lui-même. C’est par l'intermédiaire de la neuroplasticité que ces guérisons apparaissent.

Les neuro scientifiques commencent à en parler et surtout à décrire le mécanisme de ces nouveaux circuits. Le cerveau n'a pas fini de nous étonner et les futures générations profiteront pleinement de ces découvertes........



Encyclopédie des Champs Magnétiques
Auras & Chakras - Médecine Quantique

Le monde de la santé bouge en ce début de XXIe siècle, ce livre en témoignage, apporte une approche toute nouvelle des différentes techniques de soin dont certaines proviennent des USA, mais aussi des paroles de sagesse des anciens, se référant aux traditions millénaires.

Nous pouvons y rencontrer aussi la médecine quantique, médecine de demain:

  • Comment agir sur votre aura, champs magnétiques pour les équilibrer et prévenir l’apparition de troubles de santé ?
  • Comment évaluer l’état de santé de vos corps énergétiques ?
  • Comment comprendre la signification des chakras, des auras ou corps de lumière et leurs différentes couleurs ?
  • Comment utiliser les cristaux pour équilibrer tout l’appareil énergétique ?
  • Quelques thérapies énergétiques – la chambre a tachyon –
  • Comment, avec la respiration consciente, vous pouvez éradiquer le stress conscient et inconscient ? Ce stress créateur de nombreuses pathologies dites modernes.
  • Toutes les photos ont été prises en temps réel et interprétées sous guidance.



Nouvelles

-  Jacques Vigne était en pleine nouvelle ‘Tournée et Voyages 2019-2020-21’ en Europe et dans le monde, quand le ‘confinement’ pour coronavirus est arrivé. Il a donc travaillé pour établir une possibilité de ‘liaisons’ par Internet, car beaucoup des rencontres mentionnées dans son long ‘Programme’ ont dû être annulées et remplacées par des ‘visio-conférences’ dont vous avez eu tous les détails sur ses sites www.jacquesvigne.com et www.jacquesvigne.org. Nous travaillons également au remaniement et modifications du dit programme, concernant la période du confinement et ses suites. Ses méditations guidées pendant les ‘Dimanches de printemps’ à 15h, ont été suivies par des centaines de participants, à travers le site https://zoom.us/j/738711492 - ID de réunion : 738711492, méditations présentées, avec ajout de 20 minutes de yoga, par Filla Brion.

La participation à toutes ces méditations est libre, étant donné aussi les circonstances difficiles que nous traversons. Ceux qui voudraient cependant aider les projets soutenus par Jacques Vigne en Inde, à travers son association ‘Humanitaire Himalaya’, sont les bienvenus en cotisant sur le lien suivant : http://www.leetchi.com/c/humanitaire-himalaya - Pour connaître les activités de l’association : www.humanitairehimalaya.com

- Présentation de la nouvelle et 4ème retraite avec Jacques Vigne, à ANNOT – ‘Le Pré Martin’ – Alpes de Haute Provence (Arrière-Pays niçois) qui devait avoir lieu du 10 au 21 Mai 2020 et qui aura bien lieu en réel à ANNOT, du 10 au 20 Septembre 2020.

Les inscriptions sont ouvertes : Inscriptions hébergement seulement : Gabrielle Auger – contact@lepremartin.com – tel : 04 92 83 31 69 – 06 99 43 21 10 - Site : www.lepremartin.com

Inscriptions Enseignement de Jacques Vigne ensuite : koevoetsg@orange.fr

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  • « Visio-pratiques » de Jacques Vigne pendant la seconde partie de l’été 2020- Du samedi 18 juillet au dimanche 20 septembre 2020

Il y aura deux sessions par week-end, avec les mêmes horaires qu’en fin mai et juin :

  1. Les samedis de 15h à 17h
  2. Les dimanches de 9h30 à 11h30
  • Pour les week-ends des 1er-2 et 7-8 août où il n’y aura pas de week-end en présentiel, nous commenterons un texte tibétain Les conseils de Jamgön Kongtrul Lodrö Thaye. Il s’agit d’un texte tibétain du XIXe siècle commenté par Tenzin Palmo en 2019 lors d’un séminaire en Himachal Pradesh que Jacques Vigne a pris en note et qui n’est pas encore publié.
  • Pour les week-ends où il y aura un séminaire en présentiel, ce sera le même thème qu’annoncé dans le programme joint, avec possibilité pour les participants ‘Zoom’ de poser leurs questions après la pratique :

18-19 juillet : Transformer les émotions et dépasser l’ego par le raja-yoga, le védânta et le bouddhisme

25-26 juillet : Mieux gérer les émotions par la méditation

15-16 août : La psychologie du yoga - Devenir une meilleure personne par une action entre le corps et l'esprit.

22-23 août : Méditation et action - L’application de la méditation en particulier non-duelle à la vie quotidienne.

29-30 août : Mariage intérieur, non dualité et védânta

5-6 septembre : L’état méditatif, interface entre le monde de la forme et le monde du sans forme

4 jours pour explorer, comprendre, entraîner et modeler l’esprit.

Comment transformer une expérience traumatisante en opportunité d’évolution pour soi et pour les autres ?

12-13 septembre : Méditation, joie et action 1

19-20 septembre : Méditation, joie et action 2

- Participation : comme dans la seconde série des dimanches de printemps, la participation sera de 10 € par session, à verser sur la cagnotte http://www.leetchi.com/c/humanitaire- himalaya ou sur https://www.cotizup.com/pour-humanitaire-himalaya

Si vous souhaitez être tenus au courant en en temps réel des nouveaux programmes du Dr Jacques Vigne et recevoir de temps en temps des textes ou articles qu’il vient d’écrire, n’hésitez pas à vous inscrire automatiquement en envoyant simplement un mail à : Jvigne.liste@gmail.com

- Sylvie Lecomte, Masseur-kinésithérapeute, 20 années de cheminement, de

méditation, d’études, Professeur de yoga, est l’auteur d’un ouvrage dont le titre est : Le Voyage : autour du Mont Kailash – TIBET - Témoignage en faveur du Tibet (recueil poèmes – calligraphies – photos)

On peut le commander aussi à l’adresse : montyoga.stniz@gmail.com

Ceci est en lien avec Mâ qui a fait le pèlerinage du Kailash en 1936 avec Bhaiji et un grand groupe de pèlerins.

Le tour du Mont Kailash est un aboutissement. Ce livret est le fruit d’une volonté de partager une expérience spirituelle mais aussi d’exposer la situation du Tibet, des tibétains et de contribuer à la diffusion du message au monde du bouddhisme tibétain.

Voyager au Tibet est une occasion trop rare et trop confidentielle pour garder cette expérience pour soi. C’est tout naturellement que le besoin de coucher sur le papier des petits poèmes (« haïkus ») s’est fait sentir pour traduire les émotions qui ont submergé l’auteur durant ce pèlerinage.

Un diaporama sur le Tibet et le Mont Kailash a été réalisé également. Moment d’échange et de partage, il peut être présenté sur simple demande en écrivant à : montyoga.stniz@gmail.com

Les profits générés grâce à ces deux réalisations sont destinés à servir la cause tibétaine. L’auteur n’en tire aucun bénéfice. Bonne chance Sylvie !!!

  • Françoise AVRIL présente son prochain ouvrage (dont nous parlons dans ce même numéro) - Sortie juillet/août 2020

192 pages, de nombreuses illustrations, planches couleurs, chakras, champs magnétiques etc. Editions De L'Ara

Le titre : ‘Encyclopédie des Champs Magnétiques - Auras & Chakras - Médecine Quantique’ Préface du Dr Jacques Vigne - Prix 23 euros - (plus frais de port 5 à 7 euros selon le pays)

Mails : associationsoleilsoleildaquitaine@orange.fr - avrilbf@wanadoo.fr

  • Caroline Abitbol vient de sortir un livre, ‘LÀ OÙ L'ÉTERNITÉ EST UNE ÉVIDENCE’, un ouvrage photographique sur l’Inde, avec une Préface de Marc Riboud aux Editions Trans Photographic Press . Il y a eu une projection de ses photographies et présentation de son livre le jeudi 23 juillet 2020 à 21h à la salle gothique de Vézelay. En sa présence - Merci Lorant Hecquet, Association Convergences. www.carolineabitbol.com
  • L'émission ‘Sagesses Bouddhistes’ diffusera: ‘Le parcours extraordinaire de Tenzin Palmo, moniale bouddhiste’ – le dimanche 9 août à 8h30 sur France 2. Jacques Vigne en sera l’intervenant. Puis elle sera en replay pendant 28 jours sur le site de France Télévisions https://www.france.tv/france-2/sagesses-bouddhistes/replay-videos/ - D’autre part le livre de Tenzin Palmo ‘Commentaires sur la méditation-Jacques Vigne rencontre Tenzin Palmo’ (Ed Le Relié) que Jacques présentera, sera disponible sur son nouveau site www.jacquesvigne.org et ainsi ses bénéfices iront directement à elle et à son monastère de DGL.

Maintenant une petite précision émouvante de Geneviève (Mahâjyoti) pour nos fidèles amies/is du JAY MA…de Jacques et de Jean aussi…

Je vous informe également que ce livre que Jacques VIGNE présentera a été aux deux tiers traduit de l’anglais par mon compagnon Jean, (Jean E. LOUIS), avec relecture et textes rassemblés par moi-même, Geneviève (Mahâjyoti) en coordination.

Tenzin Palmo est bien connue en ce moment, anglaise moniale qui a passé 11 ans ½ seule à 4000 mètres d’altitude dans une grotte en plein Himalaya et qui enseigne désormais. Jacques Vigne en parle souvent et suit aussi son Enseignement.

Donc le Dimanche 9 Août Jacques parlera d’elle et présentera ce livre, qui contient des textes que Jean a traduits pendant plusieurs années, indépendamment de son travail pour notre petite brochure ‘ JAY MA’ sur cette autre femme ‘sage’ que fut Mâ Anandamayî.

Jacques Vigne a eu la gentillesse de faire confiance à Jean, comme traducteur,

pendant des années…Merci Jacques ! C’est un travail magnifique ! Le livre a été pris par Marc de Smedt pour les Editions Le Rélié.

A nos postes (de TV) le dimanche matin 9 Août à 8h30…sur France 2…

Je suis en train de diffuser l’info ! Je l’ai expliqué à Jean, qui en était très ému et heureux sur le moment, mais qui l’a oublié peu après…Sa maladie d’ordre cognitive et dégénérative le fait décliner tout doucement, c’est très douloureux, pour lui et pour moi ! En le faisant savoir, c’est une façon aussi d’un peu lui rendre hommage…


De tout cœur… de Geneviève (Mahâjyoti)

  • Bonjour de Joëlle MAUREL : J’espère que vous allez bien et que l’été est doux et profitable pour vous tous. J’ai la joie de vous présenter mon dernier CD de relaxations/Méditations

guidées : HARMONIE, il pourra vous aider à vous détendre et à profiter pleinement d’instants de repos bien mérités. Le meilleur pour votre vie. De belles énergies de paix, de lumière et

d’amour vers vous tous. Joëlle

BON DE COMMANDE du Nouveau CD HARMONIE - Relaxations/méditations guidées Joelle MAUREL - 10 euros le CD + 2,50 euros de frais de port

Grâce aux progrès des neurosciences et des recherches en physique quantique, les bienfaits de la méditation et des pratiques de détentes sont enfin reconnus scientifiquement. Les médecins constatent également l’impact des pensées positives, de la visualisation et de l’hygiène de vie sur notre santé et nos potentiels de guérison

Dans ce CD de plus de 2 heures d’écoute, Joëlle Maurel vous propose 4 méditations guidées. Elle vous guide vers un état de détente très profond permettant la récupération totale du corps et de l’esprit ainsi que la régénération de vos cellules, puis elle vous accompagne vers des voyages intérieurs vous permettant d’élever votre niveau énergétique vibratoire.

Si vous souhaitez commander ce CD, merci d’établir votre chèque de commande à l’ordre d’ESPACE HARMONIE et de l’envoyer à Joëlle Maurel, ESPACE HARMONIE, Chemin de Rouffiac, Lieudit Verdenne, 81000 ALBI.

Je vous l’envoie par retour du courrier. Tarif 10 euros + frais de port :

Pour 1 CD : 12,50 euros. Pour2 CD : 24,50, 3 CD : 34,50 euros. Pour + de CD me contacter au 062011207

NOM et Prénom :

ADRESSE POSTALE :

TELEPHONE :

Joëlle Maurel - 06 20 11 20 07 - Site internet: http://joelle.maurel.pagesperso-orange.fr

  • Et pour continuer avec les ‘LIENS’, voici celui qui ouvre sur les deux ‘Livres AUDIO’ de Swami Vijayânanda notre vieux Maître : ‘Un Français dans l’Himalaya’ et ‘Un Chemin de Joie’, qui furent enregistrés fin 2018 avec les voix de Jean E. LOUIS (dont nous avons rappelé plus haut le cas douloureux ainsi que dans notre ‘Editorial’ du précédent N°137) et la voix de Geneviève (Mahâjyoti). Nous avions tous deux travaillé à Rome dans la post-synchronisation il y a quelques années. https://drive.google.com/open?id=1-8TkFAMzA7Mg_9GC2oD6zMT1oaN9POjl


Attention : pour les abonnements au JAY MA, notre ami José Sanchez Gonzalez, qui est chargé de la partie administrative, a changé d’adresse postale (Voir plus bas) :

Nouvelle période d’abonnements au ‘Jay Mâ’

de Mars 2019 à Mars 2021

Les renouvellements sont toujours possibles (Marche à suivre en général)

Le N°116 du printemps 2015, fut un ‘Numéro Spécial’ dédié aux 30 années d’existence de notre brochure ‘JAY MA’ et à Atmananda qui en fut l’inspiratrice. La session actuelle pour deux ans, s’étend désormais de Mars 2019 à Mars 2021. Merci aux nouveaux inscrits, et aux fidèles de rester dans la Grande Famille de Mâ !

Les abonnés pour cette nouvelle session peuvent renouveler jusqu’en Mars 2021.

Les personnes désireuses de s’abonner au JAY MA peuvent prendre leur abonnement ‘en vol’ à n’importe quel moment…Les numéros arriérés leur seront envoyés.

Merci à tous ceux qui rejoindront ‘en route’ l’expérience du ‘JAY MA’ et qui s’inscriront pour ces deux années en cours, auprès de José Sanchez Gonzalez pour la partie administrative. Attention nouvelle adresse postale : 316 chemin du Puits 84110 Saint Marcellin-lès-Vaison – nagajo3@yahoo.fr – 0634988222 et ensuite auprès de Geneviève (Mahâjyoti) qui en gère bénévolement l’édition, pour qu’elle puisse procéder aux envois en vous remettant sur ses nouvelles listes : koevoetsg@orange.fr. N’oubliez pas de l’aviser afin de recevoir les JAY MA…sinon, ils ne vous parviendraient pas !

La brochure reste toujours au prix de 1 Euro symbolique par exemplaire trimestriel envoyé par email, soit 4 numéros par an. Le renouvellement ou l’inscription se feront toujours automatiquement pour deux ans. Il faudra donc envoyer à José, comme d’habitude, un chèque de 8 Euros au nom de Jacques Vigne, pour couvrir les deux années en cours. Les numéros arriérés seront toujours envoyés par Geneviève (Mahâjyoti) à tous ceux qui s’inscriront en cours de route, à n’importe quel moment.

Cette brochure fut créée il y a 30 ans... Elle représente un lien d’amour avec l’Inde, avec Mâ, les Swamis, les lectures, les retraites, les voyages, les témoignages, à travers la composition bénévole qu’en fait Mahâjyoti, avec la supervision de Jacques Vigne. Mahâjyoti, a une « Lettre d’infos » à votre disposition sur demande, pour bien comprendre la marche à suivre et pour ceux des pays qui n’ont plus de chéquiers.


Table des matières

Paroles et Souvenirs de Mâ – (Une introduction à la philosophie de la connaissance absolue de Sri Mâ Anandamayî – de Kédarnath Swami)

Poème à ‘my Sweet Doctor’ – (Par Madhavi de Silva – Depuis son lit d’hôpital à Colombo – Sri lanka)

Article écrit par Mme Tara Gandhi Bhattacharjee (Petite fille du Mahatma Gandhi)

Vie et enseignement de MÂ Ananda Mayi (Ecrit et envoyé par Nicole Archambault)

Surrender-Le lâcher prise (Souvenir de ‘La Mère’ et de Shri Aurobindo)

Poème de l’Abbé Pierre – (Envoyées par Anne Hérault)

SAD VANI Paroles de vérité, Paroles essentielles Sur Mâ Anandamayî (Traduites par Marie-France Martin)

Salutations Bienveillantes (Envoyées par Pierre Pastel ‘AFT’ pendant le confinement)

Regards sur la voie spirituelle (Par Patrick Mandala)

Encyclopédie des champs magnétiques (Nouveau livre de Françoise Avril)

Nouvelles

Renouvellement en cours du JAY MA pour deux ans de Mars 2019 à Mars 2021

Table des Matières