Extrait
chapitre
numéro
86

JayMâ-n°141

Cette brochure représente un lien d'amour avec l'Inde, avec Mâ, avec les Swamis, les lectures, les voyages...

Jay Mâ N° 141

Eté 2021

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‘Paroles et Souvenirs de Mâ’

Rencontre avec Mâ Anandamayî

(Les Sages de l’Inde)


De nouvelles paroles de Mâ et sur Mâ…
écrites en 1959 par Swami Kriyananda

Mes premières rencontres avec Mâ Anandamayî (Suite…)

Février 1959

A l’origine, ce récit a été publié dans Ananda Varta, en octobre 1983

Les textes qui suivent ont été tirés d’une très longue lettre que j’ai écrite – mais que je n’ai jamais terminée – aux moines SRF de Los Angeles, d’après les notes que j’avais prises à la fin de chacun de mes entretiens avec Mâ, ainsi que d’après les récits qui ont été faits par Mohini Chakravarty, un disciple SRF-YSS.


Mohini prit la parole : « Notre frère Kriyananda m’avait demandé, lorsque nous venions ici, de le faire entrer discrètement dans la salle dans le but d’aller simplement méditer. Il m’avait prié de ne pas dire qui il était. »

« Qu’entendez-vous par là ? ‘Qui il était’ ! Pourquoi, qui est-il ? Qui est l’un, qui est l’autre ? Cette petite fille – je savais que Mâ se référait à sa propre personne lorsqu’elle parlait ainsi – s’oublie elle-même à tel point qu’elle ne se souvient même plus qui elle est censée être ! Il m’arrive même de demander : ‘Où est un tel ou une telle’, en désignant la personne en question par son nom, en général quelqu’un qui s’est assis à côté de ‘ce corps’ pendant des années et qui précisément est là tout près de moi. Certains disciples s’attristent quand je ne les reconnais pas, mais c’est parce que je n’utilise pas mon mental de la même façon que les autres. Je suis guidée, poussée par le...kheyal, par une humeur, un état d’esprit (elle utilisa à nouveau un mot anglais, ‘mood’, et se mit à rire joyeusement. Avec ce mot ‘mood’, elle n’entendait toutefois pas dire qu’elle était ‘moody’, c’est à dire ‘lunatique’, ‘d’humeur changeante’, dans le sens habituel, humain, du terme. Mais tout comme les humeurs des êtres humains sont irrationnelles et imprévisibles, le kheyal se situe, lui, au-delà de la raison et ne relève pas du processus logique dans ses perceptions et ses décisions. ‘Kheyal’ peut parfois sembler fantasque au regard de l’intellect limité, mais il ne l’est jamais.)

Mâ Anandamayî rappela que le lendemain devaient se dérouler les festivités, la pûjâ – le culte religieux – de Saraswati.

Saraswati est la déesse hindoue de la connaissance et de la musique. Mâ me conseilla vivement d’assister à la cérémonie, si j’en avais la possibilité.

Mohini lui dit alors que j’aurais pu chanter quelques chants religieux en bengali.

Mâ répondit : « Ce serait très agréable, mais demain ce ne sera pas possible. Par contre le jour suivant nous pourrons les écouter. »

« Oui, mais », répliqua Mohini, « la difficulté c’est que notre frère est censé quitter Madras vendredi matin... »

C’est alors qu’une idée me poussa à intervenir : « C’est exact, je suis censé partir, mais j’envisage sérieusement de retarder ce voyage ». Tout le monde, y compris Mâ, eut un petit rire de satisfaction. Sri Ganguli lança : « Je l’avais bien dit ! Le poison du cobra a commencé à faire son effet ! » Encore une fois, tout le monde se mit à rire.

Mohini fit alors part du désir de Daya Mata, de rencontrer Mère, en privé. Celle-ci n’ayant pas encore rencontré Daya Mata, eut le sentiment, je ne sais trop pourquoi, que c’était moi qui, en fait, désirais ce rendez-vous.

« Père », dit-elle « vous savez que je n’aime pas être liée par des rendez-vous. Lorsque j’ai fait une promesse, je me dois de la respecter, en dehors de toute autre considération. Soyez gentil d’aller parler avec Swami Paramananda, en bas, et de lui demander de prendre ce rendez-vous pour moi. »

Elle se leva pour se retirer. Je lui étais reconnaissant et je la remerciai, en bengali, de s’être dérangée uniquement pour me rencontrer.

Mâ sourit. « ‘Merci’ est trop formel ! », fit-elle remarquer. (En bengali, cette expression est employée moins fréquemment que dans d’autres langues. Il y a une expression consacrée pour cela : « dhanyawad. ») « Remercieriez-vous votre propre soi ? », dit-elle.

Perplexe, j’étais en train de me demander à quelle alternative je pourrais avoir recours, lorsqu’elle s’adressa à Mohini : « Demandez-lui s’il remercierait sa propre mère ? »

« Oui », répondis-je, après que Mohini m’eut traduit la question, « dans notre langue c’est une façon de marquer notre appréciation, notre contentement, y compris à l’égard de ceux que nous aimons. »

Mâ sourit, puis, conciliante elle dit : « Bien, si cela vous est coutumier alors c’est parfait ! »

Affectueuse, elle me tendit une fleur et une mandarine. Je murmurai alors, en souriant : « Que puis-je vous dire à présent ? Dois-je accepter cela en silence ? »

Avec un petit rire de sympathie, elle répliqua : « Répondez ce que vous voulez. Ce sera très bien. »

Je la remerciai en anglais. Sans doute étais-je un peu trop Occidental ! Puis, le cœur empli de gratitude, je lui dis à quel point j’étais heureux de l’avoir rencontrée. Tandis qu’elle se retournait pour s’éloigner, j’effleurai ses pieds avec dévotion. (J’appris quelque temps plus tard que j’étais allé à l’encontre des règles de l’ashram qui interdisent de stricte façon ce genre d’attitude. Mais sur le moment, personne, et moins que tout autre Mâ elle-même, ne me reprit pour ce manquement – involontaire – à l’étiquette).

Mon cœur était comblé. Frémissant d’impatience, je me transportai mentalement au lendemain. Je projetai d’exhorter le reste de notre groupe à nous rejoindre pour assister aux cérémonies rituelles en l’honneur de Saraswati, à l’ashram.

(Traduit de l’anglais par Jean. E. LOUIS)

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La Présence de l’Absence…

Conte vécu…en Mâ ! Par Geneviève (Mahâjyoti)

Ce récit que j’avais écrit il y a quelques années et qui figure dans mon petit recueil ‘Voyage Intérieur’, correspond tout à fait à mon état d’âme d’aujourd’hui, face à ces moments de solitude lumineuse, si bien ‘habités’ (La Présence) par la ‘disparition’ (L’Absence) de mon compagnon JEAN… (Merci à toutes et à tous de vos paroles et de vos mails si chaleureux !)

Jean E. Louis

Salut Jean…Salut l’artiste…

Aujourd’hui c’est le jour de mon Anniversaire…je suis seule, mais ‘ILS’ sont tous là !

L’éloignement ne compte pas, l’effluve de leurs présences ne nous quitte jamais, celle des êtres aimés, des parents, de nos guides …et cette lumière de Mâ Anandamayî qui en TOUT nous soutient.

Cette ‘présence de l’absence’, si proche du détachement et si fidèle en tout à l’enseignement des sages, cette ‘non-absence’, si proche du cœur qui s’est donné pour le bienfait de l’autre…m’effleure en cette belle journée solitaire.

Cette pensée m’évoque une courte histoire d’un ami italien (Roberto Leoni, cinéaste et auteur du livre ‘Racconti ad occhi aperti’) qui aimait à rêver avec les yeux ouverts…et que le Japon avait fasciné. Il raconte que sa stupeur d’occidental qui avait cru tout voir, avait été marquée par cette nation, par ses textes philosophiques, sa poésie dénudée et par ses coutumes, par ses trains monorails qui arrivaient à l’heure, par l’art de composer les fleurs, par la cérémonie du thé, aussi longue et complexe qu’une messe chantée ! Véritable liturgie dans l’Art !

Il avait découvert qu’à Tokyo (à l’époque) il n’y avait pas de numéro sur les portes des immeubles, et que pour qu’une lettre puisse être délivrée, l’adresse devait relever du parcours du combattant : Monsieur Untel, 3ème maison à gauche à partir du second croisement à droite, depuis la place où était le fleuriste, au 5ème arrêt du métro N°7…véritable chasse au trésor pour les facteurs qui n’étaient autres que des encyclopédies vivantes des quartiers en question.

Mais par-dessus tout, la culture japonaise lui était apparue comme la définition même du triomphe de l’absence, avec ce ‘je ne sais quoi’ d’art et de poésie qu’on ne voit pas avec les yeux, mais qu’on perçoit avec l’âme !

Quand on fait un cadeau au Japon, la confection est presque plus importante que le cadeau lui-même. Le cadeau est souvent banal, mais son emballage reflète une spécificité personnelle.

Les poésies peuvent aussi être creuses, mais non pas la ‘griffe’ pour les écrire.

L’obsession de l’unicité dans la présentation devient primordiale, le sujet certes est important, mais plus fondamentale encore en est l’exécution.

Après avoir visité les musées, les usines, les studios de cinéma, les palais, mon ami voulut voir un temple des plus anciens. Le guide japonais l’emmena alors sur les rives d’un lac où trônait simplement un portique de bois rouge en forme d’arc de cercle.

Lorsqu’il demanda où était le temple, le guide lui répondit : « Au-delà de cet arc… »

Seuls le lac et le panorama s’étendaient à perte de vue, aussi le guide ajouta : « Nous avons construit l’entrée, tout le reste est le temple. Connaissez-vous quelqu’un capable de réaliser une œuvre aussi belle ? »

Non certes ! Dans son rationalisme mon ami se sentit un peu frustré et inculte.

Pour le réconforter, le guide lui parla des jardins célèbres d’un temple Zen de Kyoto où l’on ‘pouvait voir le Divin’, ou tout au moins entrer en contact avec lui, toujours selon cette étrange mais fascinante philosophie religieuse, ou religion philosophique, qu’est le Zen, qui ne peut s’expliquer. Et mon ami de citer un célèbre aphorisme : si deux sages dorment appuyés contre un arbre et rêvent d’un papillon, est-ce que ce sont eux qui rêvent de l’insecte, ou bien est-ce le papillon qui rêve des deux sages ?

Le lendemain, il alla voir ce temple et se retrouva dans un petit jardin de sable ondulé avec quelques pierres recouvertes de mousse. C’était là le ‘Jardin Extraordinaire’, l’image même du Divin ! Aucune magnificence, aucun lustre clinquant…mais un ordre géométrique, poétique, visant à l’essentiel dans ce petit rectangle de sable immobile comme le temps, mystérieux dans son ‘manque’, dans son absence de tout, comme l’éternité.

Mon ami demanda : « Mais, selon vous, c’est ça le Divin ? » Et le guide répondit seulement : « Pourquoi pas ? »

Ce récit en mémoire me fait comprendre que la vraie spiritualité peut exister aussi bien dans la présence que dans l’absence, parce que si la Nature Divine est en toutes choses, elle devait être dans ces pierres, dans cette mousse et dans ce sable ! Moins on s’efforce de la représenter, plus elle existe et peut nous apparaître.

Un jour, dans un catalogue de ventes par correspondance, au milieu d’objets hétéroclites, mon ami eut son attention attirée par une offre singulière : une reproduction en miniature du fameux jardin de Kyoto, format 30x12 centimètres, dans un récipient de bois noir, muni de son petit râteau minuscule et de sa notice, pour le prix de 29 Dollars. Très recommandé aux hommes d’affaires stressés qui pourront se détendre les nerfs en dessinant à coups de râteau sur le sable, entre des petits cailloux, ces vaguelettes immobiles qui symbolisent la présence de l’absence, avant-dernier pas vers la pureté et la simplicité de cœur, en deux mots : l’unique façon de voir le Divin sur la terre !

Nous n’en sommes pas encore arrivés à vendre notre âme par correspondance, noyée au milieu du sable dans un cadre de bois de quelques centimètres…mais l’enseignement de Mâ Anandamayî dans son dépouillement m’a replongée dans cette histoire vécue. Il n’est point d’illusion sans amour partagé, mais point d’absence si on a Sa présence intérieure permanente qui nous sert de guide, qui nous ouvre les yeux.

Récemment, j’ai demandé à mon guide intérieur : « Etre un bon disciple par rapport à un maître, n’est-ce pas tout simplement être un cœur qui tourne autour d’une lumière ? »

Il n’a pas répondu parce qu’il savait que son absence deviendrait sa présence si je savais comprendre l’enseignement reçu.

En cette journée d’Anniversaire j’ai compris que le plus beau cadeau était de les avoir rencontrés, ceux dont l’Absence m’entoure de leur Présence.

Et j’ai senti que le portrait que j’ai fait de Mâ me souriait…


(Geneviève Koevoets –Mahâjyoti Un 4 Juin…)


(Extrait de son livre ‘Voyage intérieur’ editions.petit.vehicule@gmail.com – A Nantes – Tel : 02 40 52 14 94)

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Laisse partir les gens qui ne sont pas prêts à t’aimer…

‘Envoyé par Sylvie Joncour à Jacques Richard de Quimper
(Association EPHATA ) - (12-01-21) Merci Jacques…
De Sir Anthony Hopkins

(Jacques Vigne a commenté ce texte par ces considérations sur le thème qui suivra) :

« Ce texte me remémore deux pensées de Swami Vijayânanda :

-Pour intensifier son progrès spirituel et économiser son énergie : l’une des manières de faire est de se détacher intérieurement de ceux qui ne progressent pas à notre contact. »

- Il disait aussi : « Donner à manger à ceux qui ont faim, et à boire à ceux qui ont soif »

Au fond, il ne s’agit pas de « ne pas aimer »certaines personnes, mais de savoir être sévère envers elles à certains moments pour les réveiller, pour qu’elles cessent de somnoler dans un cocon affectif trop confortable. Le véritable amour est sans attachement ni crispation, il inclut tous les êtres comme l’espace inclut toutes les formes. Il est juste à chaque instant. »


« Laisse partir les gens qui ne sont pas prêts à t'aimer !

C'est la chose la plus difficile que tu auras à faire dans ta vie, et elle sera aussi la plus importante : arrête de donner ton amour à ceux qui ne sont pas prêts à t'aimer.

Arrête d'avoir des conversations difficiles avec des gens qui ne veulent pas changer.

Arrête d'apparaître pour les gens qui sont indifférents à ta présence. Arrête d'aimer les gens qui ne sont pas prêts à t'aimer.

Je sais que ton instinct est de tout faire pour gagner les bonnes grâces de tous ceux qui t'entourent, mais c'est aussi l'impulsion qui te volera ton temps, ton énergie et ta santé mentale, physique et spirituelle...

Quand tu commences à te manifester dans ta vie, complètement, avec joie, intérêt et engagement, tout le monde ne sera pas prêt à te trouver à cet endroit de pure sincérité...

Ça ne veut pas dire que tu dois changer ce que tu es.

Ça veut dire que tu dois arrêter d'aimer les gens qui ne sont pas prêts à t'aimer.

Si tu es exclu(e), insulté(e) subtilement, oublié(e) ou facilement ignoré(e) par les personnes à qui tu offres ton temps, tu ne te fais pas une faveur en continuant à leur offrir ton énergie et ta vie.

La vérité, c'est que tu n'es pas tout le monde... Et que tout le monde n'est pas pour Toi...

C'est ce qui rend ce monde si spécial, quand tu trouves les quelques personnes avec qui tu as une amitié, un amour ou une relation authentique... Tu sauras à quel point c'est précieux... Parce que tu as expérimenté ce qui ne l'est pas... Mais plus tu passes de temps à essayer de te faire aimer de quelqu'un qui n'en est pas capable... Plus tu perds de temps à te priver de cette même connexion...

Il y a des milliards de personnes sur cette planète, et beaucoup d'entre elles vont se retrouver avec toi, à leur niveau, avec leur vibration, de elles en sont...

Plus tu restes petit(e), impliqué(e) dans l'intimité des gens qui t'utilisent comme un coussin, une option de second plan, un(e) thérapeute et un(e) stratège à leur guérison émotionnelle...

Plus de temps tu restes en dehors de la communauté que Tu désires. Peut-être que si tu arrêtes d'apparaître, tu seras moins recherché(e)... Peut-être que si tu arrêtes d'essayer, la relation cessera...

Peut-être que si tu arrêtes d'envoyer des ‘texto’, ton téléphone restera sombre pendant des jours et des semaines…

Peut-être que si tu arrêtes d'aimer quelqu'un, l'amour entre vous va se dissoudre. Ça ne veut pas dire que tu as ruiné une relation !

Ça veut dire que la seule chose qui tenait cette relation était l'énergie que TOI et TOI SEUL(E) tu engageais pour la maintenir à flots.

Ce n'est pas de l'amour. C'est de l'attachement. C'est vouloir donner une chance à qui n'en veut pas !

La chose la plus précieuse et la plus importante que tu as dans ta vie, c'est ton énergie.

Ce n'est pas que ton temps puisqu'il est limité... C'est ton énergie !

Ce que tu donnes chaque jour est ce qui se créera de plus en plus dans ta vie. C'est ceux à qui tu donneras ton temps et ton énergie, qui définiront ton existence.

Quand tu te rends compte de cela, tu commences à comprendre pourquoi tu es si impatient(e) quand tu passes ton temps avec des gens qui ne te conviennent pas, et dans des activités, des lieux, des situations qui ne te conviennent pas.

Tu commenceras à réaliser que la chose la plus importante que tu peux faire pour ta vie, pour toi-même et pour tous ceux que tu connais, c'est protéger ton énergie plus farouchement que n'importe quoi d'autre.

Fais de ta vie un refuge sûr, dans lequel seules les personnes "compatibles" avec toi sont autorisées.

Tu n'es pas responsable de sauver les gens.

Tu n'es pas responsable de les convaincre qu'ils doivent être sauvés.

Ce n'est pas ton travail d'exister pour les gens et de leur donner ta vie, petit à petit, instant après l'instant ! Parce que si tu te sens mal, si tu te sens dans le devoir, si tu te sens obligé(e), tu es la racine de tout ça par ton insistance, en ayant peur qu'ils ne te rendent pas les faveurs que tu leur as accordées... Il est de ton seul fait de réaliser que tu es l'aimé(e) de ton destin, et d'accepter l'amour que tu penses mériter. Décide que tu mérites une amitié réelle, un engagement véritable et un amour complet avec les personnes qui sont saines et prospères. Puis attends... juste pour un moment... Et regarde à quel point tout commence à changer... »


Sir Anthony Hopkins-


Association « EPHATA » 17 rue de la Prairie 29000 Quimper
- Tél. 02 98 55 50 29
- Mèl. ephatacornouaille@gmail.com "EPHATA" signifie "Ouvre-toi !"
- http://ephata-bzh.blogspot.com/
- Préfecture Finistère n° w294000875


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Poème libre...

Il meurt lentement

celui qui ne change pas de cap lorsqu'il est malheureux

au travail ou en amour, celui qui ne prend pas de risques

pour réaliser ses rêves,

celui qui, pas une seule fois dans sa vie, n'a fui les conseils sensés.



MARTHA MEDEIROS
Journaliste, poétesse et écrivaine brésilienne
Extrait de la Lettre 38 ‘L’union fait la force’ de ‘l’Association Les Nouveaux Mondes’ d’Isabelle Duffaut

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Vie et enseignement de MÂ Ananda Mayî

(Suite des JAY MA N° 138, 139 et 140)

Ecrit et envoyé par Nicole Archambault, de Nantes,
pour son association ‘Yogarasa’ www.yogarasa.fr - 06 23 83 08 50 - 02 40 29 35 96

Mâ : ce qu’elle dit d’elle-même


« Je suis la même que j’étais avant et la même que je serai après. A quelque moment que vous m’appeliez, pour quelque raison que ce soit et quoi que vous pensiez de moi, je suis cela. ‘Ce Corps’ n’est pas là pour récolter les fruits d’un karma précédent. Pourquoi ne considérez-vous pas ce Corps comme un jouet de votre demande intérieure profonde ? Vous l’avez voulu et vous l’avez obtenu. »

Par ces mots elle indique bien que sa présence ne tient pas à sa volonté mais à la nôtre, et qu’elle accepte entièrement le rôle que le ciel lui ordonne, comme si ce ciel lui-même accédait à nos prières. Il est dit que maints saints et sages imploraient par leur prière l’arrivée, la descente, d’un être réalisé sur cette partie de l’Inde, le Bengale, capable de maintenir la tradition de renouer pleinement avec l’époque védique. On peut parler dans son cas d’un avatar qui a répondu à ces prières ferventes.

Elle dit aussi dans ce contexte :


« Je viens à votre portée, mais je ne vous permets pas de m’accaparer » Plus loin elle précise la signification du mot « Mâ » :

« Connaître c’est réussir à devenir Mâ. signifie « Atma »(le Soi). Mâ signifie « imprégné ». Le Soi imprègne le Soi, le principe du Soi. En vérité c’est Cela qui est. Atteindre la forme de la connaissance, du Soi et de Shiva, signifie devenir cela qui est toujours existant. L’Atma de ce Corps est l’Atma de chacun. Mâ ne pourrait fonctionner s’il n’y avait aucun autre être. Ou encore signifie quelqu’un qui satisfait les nécessités de ses enfants dans une mesure parfaite.

Parce qu’elle sait évaluer les enfants, c’est pour cela qu’elle est mère. Et plus loin …..Vous avez été créé à partir de Mâ. En effet le père existe dans la mère. Ne dites- vous pas à Dieu Tu es père, Tu es frère, ami et maître ? C’est –à-dire moi, mon ‘Je’ suprême. Chaque chose en effet est ‘Lui’ qui est en chaque chose. Souvenez-vous, Mâ est CELA !!

« Nombre de personnes disent de Mâ « Vous êtes mon guru » et Mâ leur répond : « Comme il vous plaira » Dieu que l’on appelle le Brahman suprême, omniprésent et le Soi supérieur, est véritablement la mère de tous. »

« On peut réaliser rien qu’en essayant de réaliser son propre Soi »

« Il ne faudrait rien garder à l’esprit, si ce n’est Mâ qui est Chinananda (conscience et béatitude incarnée) »

« La relation avec Mâ est éternelle. Elle est l’unique Soi, éternellement familier »

« Sachez que votre souvenir est en permanence dans mon esprit »

« Vos peines, votre douleur, votre détresse sont ma souffrance. Ce Corps comprend tout, ressent tout. »

« est là, pourquoi s’inquiéter ? «

« En vérité, je suis toujours avec vous »

« Ce Corps est partout, pour chacun. »

« Ce Corps n’est aussi qu’une petite fille impatiente que vous ne pourrez pas renvoyer, même si vous le désirez. Elle n’est jamais partie et ne partira jamais. »

« Vous avez eu suffisamment du jeu de l’intelligence durant votre vie. Victoire ou défaite, peu importe, tout cela appartient au passé. Même si c’est seulement une fois, réalisez que vous n’avez pas d’autres aides, regardez vers Lui et jetez-vous sur ses genoux. Vous n’aurez pas à vous soucier de quoi que ce soit d’autre. »


Le sens à donner à
« la petite fille, que je suis », à « ce Corps », à son « Kheyala », à « sa vie incarnée en Jeu/lîlâ ».

J’aimerais partager avec vous quelques pensées de disciples français qui écrivirent sur elle quelques trouvailles remarquables ;

Jean Claude Marol « Mâ Anandamoyî, et c’est un de ses mystères, ne parle pas « devant » un autre. Elle parle « en » nous. » Il ajoute ces paroles de Mâ : « Je ne vous réponds pas….Cela vient à ma bouche. La réponse est à vous, comme vos questions sont à vous » (Vie en Jeu Editions Accarias)

Jacques Vigne dans la préface du livre ‘Paroles de Mâ Anandamayî classées par thèmes’, (traduction de Jean E. Louis-coordination de Geneviève Koevoets), fait un magnifique rapprochement entre Mâ et la symbolique de Sarasvati. Je le cite :

« Un mot d’explication est nécessaire pour s’imprégner du sens que l’on donne ‘à la Mère pénétrée’ constituée de Parole. (Vak) Ce nom évoque la première forme de la Mère Divine dans les Védas cette racine, vak, est la même que ‘vox’ en latin, ‘voix’ en français. Cette déesse « Voix » donc permet l’expression audible du Brahman. On dit qu’elle est née de la langue de ce Brahman ou parfois encore qu’elle en est son épouse. Elle n’est pas sans évoquer la Hokhma-Sophia (sagesse mystique juive). Dans l’hindouisme classique, elle s’est transformée en Sarasvati, déesse blanche de pureté, de l’enseignement de la connaissance ainsi que de la musique. Elle réside « vati » sur un cours d’eau « saras », c’est le sens de son nom. Cet archétype s’associe assez spontanément à Mâ Anandamayî, qui a été toute sa vie vêtue de blanc, et dont l’ashram principal et le tombeau (samadhi) sont situés au bord du Gange tout près de Hardwar, à Kankhal plus précisément. Ce qu’il y a de particulier dans le cas de Mâ, c’est qu’il ne s’agissait pas d’une divinité vieille de plusieurs millénaires et présente uniquement sur le plan subtil, mais d’une personne bien vivante qu’on pouvait rencontrer si on le voulait.

Il conclut sa préface en disant « qu’elle a accompli avec un souci de perfection la transmission de l’enseignement de l’Inde ancienne des Rishis et des Munis de jadis, tout en transmettant tout autour d’elle une énergie indubitable d’amour et de joie. »

Jean Herbert toute sa préface au livre Aux sources de la joie qu’il traduisit également, est considérée, en particulier par Sami Vijayânanda, par tous comme la plus belle introduction à la découverte de Mâ.

Bibliographie :
L’enseignement de Mâ Anandamayî traduit par Josette Herbert Albin Michel
Paroles de Mâ Anandamayi classées par thèmes – J E. Louis-G. Koevoets (Editions Unicité) Vie en Jeu Ma Anandamayi Jean-Claude Marol Editions Accarias L’originel
Aux sources de la joie Mâ Anandamoyî Jean Herbert (Albin Michel) L’inde intérieure Jacques Vigne (Editions le Relié)
En compagnie de Mâ Anandamayî Bithika Mukerji (Editions Agamat)
Retrouver la joie - Mâ Ananda Mayî textes inédits Patrick Mandala, préface A.Desjardins (Editions le Relié)
Présence de Mâ Ananda Mayi pages de journal 1947-1963 (Les deux océans) traduction Josette Herbert
Voyage Intérieur Geneviève Koevoets (Editions du Petit Véhicule-Nantes)

Travail proposé

Un ensemble de 6 ateliers de 3h chacun, une fois par mois, sur l’Enseignement de Andamayî a été proposé suite à ce travail colossal effectué à Nantes par Nicole Archambault, une suite copieuse à ses travaux et études, d'abord à partir de phrases marquantes de Mâ, puis à partir du livre sur Jésus et Mâ : ‘Ce corps’… Nous reviendrons volontiers en détails dans nos prochaines éditions sur ce travail avec ses élèves et tous ses participants. Un ensemble qu’elle conclue par une approche personnelle à travers un exposé oral sur le thème ‘La spiritualité au féminin’.

Poème de François CHENG


envoyé par Béatrice FESSELMEYER


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Priez pour elle…


Elle s’appelle VICTORIA…Baptisée ainsi par ses parents avant même qu’elle ne naisse avec un squelette inachevé…Malgré ses douleurs et ses difficultés de vivre ainsi handicapée par une maladie orpheline qu’on ne peut pas soigner, elle est le rayon de soleil de ses parents et de ses camarades de classe, elle est dotée d’une intelligence exceptionnelle qui vient…de l’au- delà… avec des réflexions ahurissantes qui pourraient faire penser qu’elle est une sorte d’avatar dans un karma de souffrance…A 14 ans elle a un corps d’enfant de 8 ans mais elle est déjà en 4ème à l’école avec des adolescentes en herbe…Elle a été opérée le 22 Mars à l’Hôpital Lenval de Nice afin de lui redresser la colonne vertébrale pour ne pas que ses os viennent lui perforer ou lui atrophier les poumons…et elle a la joie de VIVRE ! VICTORIA … C’est un SOLEIL… Ses parents ont demandé que l’on continue à prier pour elle…

23 Mars : L’opération a duré 7h, le chirurgien a été satisfait mais il a dû faire du ‘bricolage’ pour poser une prothèse depuis la nuque jusqu’en bas, où la consistance des os n’était pas valable. La rééducation sera longue et douloureuse, son papa l’a vue droite pour la 1ère fois et n’a pas reconnu son corps. Il a dit : « Qu’est-ce que j’ai dû faire pour mériter cela ! » Mais Simone sa grand-mère a répondu : « C’était sûrement beau puisqu’elle t’a choisi »… Etrangement Victoria a beaucoup parlé pendant l’anesthésie. C’est une très ‘vieille âme’

1er Mai : Comme je l’avais annoncé lors d’une séance Zoom avec Jacques Vigne, aussi bien Simone que les parents de Victoria sont infiniment reconnaissants, car apparemment l’opération a réussi au-delà du prévu. Victoria a d’ailleurs toujours déjoué tous les pronostics, et même les chirurgiens n’en reviennent pas !

Elle va même tellement bien que l’Hôpital l’a retirée de chez les enfants pour la mettre avec les adultes. Elle aura une longue rééducation évidemment, mais la famille a salué les prières comme source de ce miracle ! Et ils remercient chaleureusement !

Voilà pour les nouvelles…bonnes nouvelles ! Victoria a pleinement récupéré.

OM…AUM !

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42 minutes avant le lever du soleil

Envoyé par Jocelyne HOCHET


Chère Geneviève

C’est TROP BEAU pour que je ne vous le transmette pas…Et que vous le fassiez suivre pour en tirer quelques conclusions importantes

Cela me fait penser à un souhait du Pape FRANCOIS : le SILENCE …. MAGNIFIQUE THERAPIE !

Mâ Anandamayî a gardé le silence pendant de long mois. Je pense que c’est là un « médicament » pour notre humanité en constante ébullition, courant au-devant de toutes « nos » maladies.


Avec toute mon affection - JAY JAY MA !
Jocelyne HOCHET


Le Japonais Shin Terayama allait avoir cinquante ans quand il fut soudain obligé (vous allez voir pourquoi) de passer ses journées à la maison.

> Il vivait au deuxième étage d’un immeuble. Chaque matin, il avait l’habitude de monter jusqu’au huitième étage pour contempler l’aube depuis le toit.

> Il décida de se lever quelques minutes plus tôt.

> Il remarqua une chose à laquelle il n’avait jamais prêté attention : les oiseaux chantaient déjà !


Qu’est-ce qui fait chanter les oiseaux le matin ?

> Shin Terayama voulut savoir quand exactement se mettent-ils à chanter, et surtout pourquoi ?

> Il décida de se lever dix minutes avant le lever du soleil, puis vingt minutes, puis trente minutes…

> Mais à chaque fois les oiseaux chantaient déjà !

> Alors, il mit son réveil à sonner une heure avant le lever du soleil.

> Et là… tout était silencieux.

> Au terme de son expérience, il découvrit que les oiseaux commençaient à chanter exactement 42 minutes avant le lever du soleil, et ce quelle que soit l’heure à laquelle le jour paraissait !

> Pourquoi ?

> Shin Terayama mena des expériences.

> Il finit par découvrir que le chant des oiseaux était provoqué par la production d’oxygène des arbres, qui commence à la fin de la nuit.

> Pour vérifier son hypothèse, il utilisa les trois oiseaux en cage que sa famille possédait.

> Il acheta une bonbonne d’oxygène, et resta éveillé tard. A minuit, il libéra de l’oxygène dans la pièce. Et ses oiseaux se mirent à gazouiller, jusqu’à ce que le gaz se dissipe ! Il renouvela l’expérience plus tard dans la nuit. Il obtint le même effet.

> Son hypothèse se vérifiait : la photosynthèse, qui permet aux arbres d’absorber du dioxyde de carbone et d’émettre de l’oxygène, ne peut se produire qu’en présence d’un peu de lumière.

> Elle se produit dès que les premiers rayons solaires filtrent… environ 42 minutes avant le lever du soleil.


Une étape de rémission totale

> Nous devons la découverte que les oiseaux commencent à chanter 42 minutes avant le lever du soleil, en réaction à l’émission d’oxygène par les arbres, à Shin Terayama.

> Mais Shin Terayama n’est ni ornithologue, ni chimiste. Ce Japonais « banal » était en phase terminale de cancer. Il avait subi une ablation du rein suite à une grosse tumeur. Malgré son opération, une chimiothérapie, une radiothérapie, son cancer avait migré vers ses poumons et son rectum.

> On l’avait donc renvoyé chez lui pour y mourir en paix, auprès de sa femme et de ses trois enfants.

> Il n’avait plus que la peau sur les os et se déplaçait au moyen d’un déambulateur.

> Tous ses traitements anticancéreux furent interrompus. Les médecins lui donnaient trois mois à vivre, maximum.

> Cela se passait en 1984.

> Shin Terayama est, à l’heure où je vous écris, toujours vivant.

> Le voici, aujourd’hui, âgé de 82 ans :

Shin Terayama

> Sa découverte sur le chant des oiseaux fut l’une des toutes premières étapes de sa rémission totale d’un cancer en phase terminale.


« À la maison, je ne pouvais plus boire l’eau du robinet »

> Avant que son cancer ne se déclare, Shin Terayama était le modèle de l’employé japonais des années 1980 : travailleur, il avait gravi les échelons de sa société jusqu’à en devenir président.

> A 46 ans, il travaillait 12 à 15 heures par jour… tous les jours.

> Ce qui ne lui laissait non seulement guère le temps de voir sa femme et leurs trois enfants, mais même pas de dormir suffisamment.

> Même après l’apparition d’une intense fatigue, il continua de travailler à ce rythme infernal.

> Jusqu’à ce que du sang apparaisse dans ses urines. On lui diagnostiqua un cancer du rein… mais même là, submergé de travail, il reporta de mois en mois l’opération que son médecin recommandait.

> Je vous ai raconté la suite. L’ablation de rein, la chimiothérapie, la radiothérapie… et son cancer en phase terminale.

> Un autre point intéressant est qu’au bout de cinq mois d’hôpital, l’odorat de Shin Terayama s’était singulièrement affiné. Les odeurs de l’hôpital lui étaient devenues insupportables. Il dut effectuer des aménagements chez lui aussi : il commença par installer un filtre à charbon car il ne pouvait plus boire l’eau du robinet.

> Puis, il se mit à jeûner : il ne buvait plus que de l’eau et son système digestif n’avait plus à travailler puisque son corps recevait les nutriments dont il avait besoin directement par intraveineuse.

> A ce moment, je le répète, il ne recevait plus de traitement anti cancer.

> Et c’est à ce moment que, chaque jour, il commença à contempler le lever du soleil et à écouter le chant des oiseaux, s’étonnant chaque matin d’être encore vivant.


Rémission totale

>  Face au soleil levant, Shin Terayama se mit à effectuer des exercices de yoga et de méditation, sans rien connaître de ces disciplines.

> Ses exercices de respiration, malgré un cancer qui avait migré dans ses poumons, accompagnaient sa sensibilité de plus en plus fine au monde qui l’entourait et qu’il n’avait pas pris le temps d’apprécier depuis 25 ans qu’il travaillait comme un forcené.

> Shin Terayama réapprenait à s’écouter lui.

> Il se remit au violon, lui qui avait dû délaisser le violon à cause de sa surcharge de travail alors qu’il adorait en jouer.

> Il changea d’alimentation, adoptant un régime de type macrobiotique, et effectua un lavement une fois par semaine.

> Il se mit à faire des séjours dans des Onsen, des bains thermaux traditionnels en montagne, desquels il revenait ragaillardi.

> Ses médecins, étonnés de le savoir encore vivant, lui firent passer des examens tous les trois à six mois. Chacun de ces examens témoignait d’un recul lent, mais incontestable, de son cancer.

> En 1988, quatre ans après son diagnostic de cancer de rein, il fut invité à parler de sa rémission spectaculaire en Écosse.

> Là, il fit une découverte bouleversante : la force de l’étreinte.

> Le Japon n’a pas la culture du contact physique. Mais en Europe, auprès de ces inconnus qui le prenaient spontanément dans leurs bras, il s’aperçut à quel point l’amour qui se dégageait de ces simples étreintes lui donnait de l’énergie.


Un cas rare, mais loin d’être isolé

> On entend toujours des récits de « batailles » contre le cancer, et même de « guerre » (souvenez-vous de la « guerre contre le cancer » de Nixon !)…

> Shin Terayama n’est pas parti en guerre contre son cancer : il a décidé de l’écouter, et de « lui parler ».

> Il a considéré que cette maladie était un signal d’alarme que son corps lui envoyait pour stopper cette vie insensée qu’il avait menée au cours du quart de siècle précédent.

> Il partage désormais son expérience. Il a un site internet, en anglais, que vous pouvez consulter [1].

> Son histoire est belle n’est-ce pas ? Elle m’a touché.

> La cancérologue Kelly A. Turner la raconte avec encore plus de détails dans son livre Les 9 Clés de la rémission [2].

> Ces rémissions spontanées du cancer, en-dehors ou en parallèle de la médecine conventionnelle, sont plus nombreuses qu’on le croit. Et surtout, elles ont des points communs.

> Portez-vous bien,

> Rodolphe

https://alternatif-bien-etre.com/solutions-venues-d-ailleurs/42-minutes-avant-le-lever-du- soleil/
http://www.shin-terayama.jp/en/
Turner, K. A. (2018). Les 9 clés de la rémission. J’ai Lu, Paris : France. https://www.payot.ch/Detail/les_9_cles_de_la_remission-turner_kelly_a- 9782290166420?fp=1

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PRIVE DE CLARTE

Par Jacqueline Bolsee-Pleyers

(‘Dame Jacqueline’ est en train de nous habituer à sa ‘chronique spirituelle sur Mâ’ qu’elle nous envoie depuis de premier ‘confinement’…comme quoi la création peut puiser sa source dans le bonheur, comme dans la souffrance !) Suite au dernier JAY MA contenant les témoignages sur la fin de vie de mon compagnon JEAN, elle m’a envoyé par courrier postal une belle carte en vrai ‘papier’ et dont le post-scriptum disait : « Surtout ne sois pas triste Geneviève, nous n’en avons pas le droit après nos paroles sur la JOIE… ! »

A l'ashram un jour, Mâ Anandamayî remarque un arbuste Tulsi attaché avec une corde trop serrée. Elle fait relâcher la corde parce que: "Dieu (le Tulsi est considéré comme une plante divine) ne doit pas, ne peut pas être lié et de plus, un ashram doit être un lieu où l'on se sent complètement à l'aise".

".....Que personne ne me quitte sans être plus heureux qu'en arrivant," fredonne le vieux banc installé au pied du grand chêne. Témoin de tant et de tant de tête-à-tête ce 'personnage' a été baptisé: 'Musée d'art conceptuel'. Les oiseaux l'aiment, avec Amour l'entretiennent, par voie naturelle de leurs plus beaux atours le parent. Grâce à eux notre ami vit. Aujourd'hui il gémit sous le poids de deux bavards qui s'expriment de toute leur âme. Le ton est amical, tendre et léger, presque musical telle la brise d'été. Après avoir imploré le ciel: "...Que les fleurs disséminent ce don semé en leur cœur: La capacité d'écoute", notre banc tend l'oreille les yeux fermés comme un vieux sage éveillé.

"...Blablabla… Sans liberté pas de Vérité, certifie l'un. L'être séquestré dans un cadre étroit, agenouillé au pied de la règle et non de l'Immensité Infinie, astreint à l'obéissance, ne peut prendre conscience de sa propre Beauté. Sous la contrainte le 'moi' se scinde, sans Vérité pas d'Unité. Lumière d'un côté et pauvres manières de l'autre: Tête haute empalée sur des convictions immuables, discipline qui étrangle à la racine toute initiative de l'âme, nous avons nommé toute expression créatrice insufflée par l'Incommensurable Grandeur… L'Ego, vif comme l'éclair, s'engouffre dans l'espace dualiste Il éteint les lumières, souffle la clarté originelle.

Et la confusion règne. L'humanité tremble, danse au salon des apparences, tente de survivre en épinglant son malaise sur les gallons du paraître…"

"Effectivement, coupe l'autre, ce qui est en espérance d'Etre ne peut Etre. Les saisons de la bastonnade voilent l'instant primordial: Le Pur ressenti de l'union mystique, extase sacrée, instant dépourvu de miroir égocentrique déformant, laps de temps de Lumière parfaitement uni à l'Immense. Il comble le besoin de plénitude, donne un aperçu de notre propre Soi, un avant-goût de Réalisation. Par ce chemin direct vers l'éveil point de conflits dualistes.

La Vérité se vit, conclut notre bavard, d'instant en instant, à chaque pas et non là-bas au bout du bout d'un devenir qui s'étire vers un bonheur aléatoire à l'heure du trépas. Elle n'est ni commerce ni loi mais Joie ici et maintenant. L'être rigide posté à côté de l'Eternelle Splendeur se dessèche à petit feu. Il meurt aigri, n'ayant eu pour béquille que l'habit qui faisait la règle."

En ce lieu privé de Clarté, les cendres encore tièdes, du captif enfin libéré, s'inclinent pour adorer- nous avons dit 'Etre'- non point la loi mais la fleur divine appelée: Unité.

"Ceux qui ne cherchent pas à Se connaître se suicident à chaque instant » Nous rappelle Mâ Anandamayî."

Jacqueline Pleyers

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Stage

« La nature de l’éveil en Provence mystique »
A Cade dans le Var – 19-23 Juillet 2021
Avec Jacques Vigne et Florence Pittolo (Sahaj Neel)


Piscine d’eau de source, essences forestières, monastère orthodoxe, chaleur de l’accueil profond de nos hôtes, douceur de la mer à 50 km, …


Situé dans le Var à Lorgues, (près de Draguignan), "Cade" est un lieu de longues habitudes alchimiques. Faisant face au Monastère St Michel (visites et rituels ouverts), lieu de référence de Jean-Yves Leloup, ce beau corps de ferme composé de plusieurs bâtisses est tenu avec amour et profondeur par notre couple si connu pour sa douceur (83 ans). La piscine entourée de garigue évoque l’appel de la source,…


Jacques Vigne et Florence Pittolo (Sahaj Neel) vous accueillerons pour continuer l’ébauche délicate du chemin vers l’essentiel, ce temps sera aussi dédié à cet approfondissement dont chaque quêteur est inspiré : enfin se poser pour recevoir cette bienveillance.

Le programme est conçu pour qu’autant l’esprit que le corps s’installent dans l’unité et s’y détendent en clarté. Nous développerons quotidiennement et en soirées étoilées, pour l’un, - l’assise méditative et les lectures ou études-, pour le second la pratique douce des Tao de l’éveil, les marches en silence, pratiques de détente et souffle dans l’eau pure (1)

(1) Hatha yoga pour ceux qui le désirent, en pratique personnelle ou groupe auto-formé.

Dates : 19- 23 Juillet 2021 (possibilité d’arriver le 22) Florence (Sahaj Neel) seule : lundi 19 (16 h) au mardi soir 20 Juillet

Jacques Vigne arriverait le mercredi 21 Juillet (midi) Nous finirons tous le vendredi 23 Juillet à 17 h.

Arrivées et départs : différentes possibilités (merci de bien les communiquer).
Détails inhabituels : marche matinale et petit-déjeuner en forêt.

Par Florence (Sahaj) seule : pratique des Tao de l'éveil (type Tai Chi chuan basé sur les qualités de notre nature profonde, simple et accessible à tous),

Relaxation aquatique : ouverture de la chaine du prana dans l'eau avec assouplissements.
Méditations aux étoiles et soleil (si temps disponible)



Tarif hébergement

Chambre :

Individuelle (réserver rapidement) 35 € (Ou 30 euros si problèmes financiers)

Double : 25 €

Repas : 15,00 €

Petit-déjeuner : 05,00 €

Belles salles de stage. Possibilité également de pique-niquer avec votre nourriture (Prière de bien le préciser à l’avance). Salle de ‘tisane’.


Tarif Stage : 75 € par jour (si problèmes, demander réduction).
Envoyer un chèque d’arrhes de 100 € à : Florence Pittolo, 10 Bd De Lattre de Tassigny, cabinet médical, 83310 Cogolin.


Inscriptions : Seminaires83@gmail.com

Informations générales et thèmes :

Lieu du stage : Le Cade- 04 94 73 71 41- Mme et Mr Jean EMERAT

C.A.D.E est situé : Rte De Salernes 340 chem Basse Maure, 83780 FLAYOSC (note : plus près de Lorgues que du village de Flayosc, se diriger aussi en face du Monastère St Michel).

U R G E N C E

ALERTE PANDEMIE A BENARES, EN INDE

ILS N’ONT D’AUTRES RECOURS QUE VOUS ET NOUS !

FAITES LE SAVOIR A VOS PROCHES


TOUS LES MEMBRES ET AMIS DE ACT & HELP, DEVA EUROPE et HUMANITAIRE HIMALAYA se regroupent…

Avec 20€, nous pouvons, ensemble, sauver de la famine une famille de 5 personnes pendant un mois.

Les dons reçus par Act & Help bénéficient d’une réduction fiscale de 75%

jusqu’à 1 000€ de dons, plafond 2021 : les 3/4 vous sont rendus…

Donner 100€, un don qui peut ne vous coûter que 25 € !


Pour bénéficier de cet avantage fiscal et payer par carte de crédit

(Cliquer sur ce lien) : ALERTE PANDEMIE A BENARES, INDE


Un reçu fiscal est émis simultanément.


Sont également possibles :

Les dons reçus par chèques libellés au nom d’Act & Help, adressés à Act & Help, 30 rue Miollis 75015 Paris, ou à Deva Europe, 101 av. de Versailles 75016 Paris et les dons reçus par virements bancaires sur le CREDIT MUTUEL, compte Act & Help, FR76 1027 8060 1000 0202 9640 153. BIC : CMCIFR2A.


Dans ces deux derniers cas, un reçu fiscal 2021 vous est adressé avant la fin de l’année.

Pour les envois de chèques et les virements bancaires, veuillez adresser à actandhelp@gmail.com,

. un mail indiquant votre nom et votre adresse postale.

MERCI POUR VOTRE PRESENCE, VOTRE GENEROSITE ET VOTRE CONFIANCE !


Avec vous, nous suivons la situation en Inde qui est de plus en plus alarmante. Les chiffres annoncés, nombre de malades, nombre de morts, au quotidien, ces chiffres officiels, nous dit le Directeur de nos projets à Bénarès, sont très en deçà de la réalité. A Bénarès, on manque de tout, de lits, d’oxygène, d’ambulances, de médecins… frappés eux aussi par le virus. Nous ne pouvons pas intervenir au plan médical, la note dépasse de beaucoup nos budgets, mais…

…nous pouvons permettre aux plus pauvres d’entre les pauvres de survivre en leur apportant de la nourriture - riz, lentilles, farine, pommes de terre, oignons, sel, de l’huile et des épices… - assez de quoi vivre de 15 jours en 15 jours. Un kit permettant à une famille de 5 personnes de survivre pendant 2 semaines coûte environ 10 €uros.

ACT & HELP, HUMANITAIRE HIMALAYA et DEVA EUROPE, ensemble, ont décidé de protéger et de sauver de la famine 250 familles parmi les plus démunies, des oubliées de tous.

Notre objectif immédiat est de les nourrir, mais nous devons tenir 4 mois au moins, la vie en Inde n’ayant aucune chance de revenir à la normale avant octobre prochain.

D’aucuns nous trouvent optimistes !

Une chose est certaine, aujourd’hui, nous ne pouvons pas tenir un mois de plus sans vous… Prendre en charge la nourriture d’une famille de 5 personnes sur 4 mois, c’est un budget de moins de 100€, un don qui peut ne vous coûter que 25 € !

Sur cette base, dans la mesure de vos moyens, vous pouvez décider de multiplier le nombre de familles que vous souhaitez aider

ACT & HELP, DEVA EUROPE ET HUMANITAIRE HIMALAYA SE PARTAGENT VOS DONS POUR PLUS D’EFFICACITE SUR LE TERRAIN

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Nouvelles


- Jacques Vigne était en plein dans sa nouvelle ‘Tournée et Voyages 2019-20-21’ en Europe et dans le monde, quand le premier ‘confinement’ pour coronavirus est arrivé. Il se prépare à reprendre bientôt en ‘présentiel’. Entre temps, il a travaillé pour établir une possibilité de ‘liaisons’ par Internet, car beaucoup des rencontres mentionnées dans son long ‘Programme’ ont dû être annulées et remplacées par des visio-conférences Zoom, dont vous avez tous les détails sur ses deux sites (le site ‘historique’ www.jacquesvigne.com et le nouveau site www.jacquesvigne.org). Ses méditations guidées sur ZOOM sont suivies par des centaines de participants. Nous travaillons également au remaniement et modifications du dit programme, concernant la période actuelle et ses suites. Voici quelques indications pour s’y inscrire :

Visio-Conférences ZOOM de Jacques Vigne

Ou lien direct : https://us02web.zoom.us/j/3050782130 ID de réunion : 305 078 2130

- La participation par visio-conférence ZOOM est ouverte à tous sans inscription préalable

La participation financière est de 10€ minimum ou plus par atelier.

Nous faisons confiance aux participants pour cotiser directement sur le lien du nouveau site de Jacques Vigne : https://www.jacquesvigne.org/donations (L’ancien site reste en fonction) avant ou après chaque session en indiquant leurs nom, prénom et la date de l‘événement.

-Il est possible de regrouper en un seul don la participation à plusieurs ateliers.

-Merci d’inscrire vos nom et prénom et la (les dates) de votre/vos participation.s.

-Le nouveau lien engendré automatiquement par le système de paiement en ligne, Stripe, vaut pour une facture en bonne et due forme, il n’y a donc pas à en demander une en plus.

Jacques Vigne transfère une partie de ses revenus vers l’Inde et le Népal à travers l’Association Humanitaire Himalaya : www.humanitairehimalaya.com


Voir le programme détaillé sur ses deux sites


Dans le cadre des leçons de "Yoga et Méditation" organisées par Drs. Jacques Vigne et Lwiis Saliba
nous avons le plaisir de recevoir dans une 2eme interview d'une heure la fondatrice du Couvent des Moniales Bouddhistes près de Dharamasala :

TENZIN PALMO
Tenzin Palmo

Mercredi 9 juin 2021 à 17:30 (heure de Paris)


Sur le lien Zoom :
https://us02web.zoom.us/j/3050782130

(Nombre des places disponibles : 300)

  • Jacques VIGNE a accepté de faire la préface d’un nouveau livre de Geneviève KOEVOETS (Mahâjyoti) (en coordination avec Gilles ERMIA). Il s’agit d’un Récit/témoignage’ chronologique et anecdotique à travers son vécu, concernant la belle époque du cinéma italien et international, au fil des souvenirs de ses nombreuses ‘tranches de vies’ dans ses nombreux métiers artistico-culturels…Ce livre est parti d’une ‘Enquête de fond’ de Gilles Ermia, menée au départ sur l’histoire du ‘doublage français’ qui fut fait à Rome durant les plus belles années du cinéma italien. Le livre, véritable ‘Revival’, s’intitulera ‘Du cinéma à la spiritualité’ (Tous les chemins sont passés… et passeront par Rome)’. On y retrouvera beaucoup de personnages connus, notamment Jean E. LOUIS notre regretté traducteur récemment disparu qui avait fait une jolie carrière d’acteur à Rome et à qui le livre est dédié…Cet ouvrage, illustré de photos, sera publié par Luc Vidal pour les ‘Editions du Petit Véhicule’, tout comme le premier livre (’spirituel’ dans les 2 sens du terme), de Geneviève ‘Voyage Intérieur’ (editions.petit.vehicule@gmail.com ) à Nantes. Tel : 02 40 52 14 94
  • Françoise BADIE nous informe : TOUT ACHAT de son LIVRE "Encyclopédie des champs magnétiques, Aura & Chakras Médecine quantique", dont nous avons parlé dans les deux précédents JAY MA - tarif 23€ plus frais de port 5€, venant de la part du JAY MA, SERA REVERSE SYSTÉMATIQUEMENT AUX ŒUVRES DE Jacques VIGNE
    (Lors de la commande par mail ou courrier, merci de noter : "JAY MA")
    Pour les modalités –mail : associationsoleilsoleildaquitaine@orange.fr> ou avrilbf@wanadoo.fr ou consulter tous les jours francoise.badie@wanadoo.f

  • Françoise BADIE nous envoie également cet émouvant message :
    Chère Geneviève amie,
    A propos de votre appel ‘PRIEZ POUR ELLE’ pour cette jeune fille martyre, je ne sais pas si ça rentre dans le cadre du ‘JAY MA’, en tout cas je vous envoie ‘l’intitulé’ de ce que nous faisons dans nos prières
    - Merci, Merci, pour tous les enfants du monde
    Tous les soirs à 19 heures nous honorons tous les Maîtres Spirituels qui ont foulé cette terre bénie dans le cadre de Lord Aarti, rituel donné et offert par l’Inde profonde.
  • Mâ Anandamayî fait partie des déesses incarnées
    Nous avons consacré, à la fin de ce rituel, un espace de prières pour les enfants souffrants, ou ayant une pathologie déclarée.
    Pour cela, il nous suffit d’avoir une photo de l’enfant (si ce n’est pas possible, nous n’utiliserons que le prénom), la pathologie et l’âge de l’enfant.
    - Chaque prière est individualisée et personnelle
    Afin de rester et de respecter le secret professionnel (je suis infirmière DE à la retraite,) nous ne demandons aucun nom de famille.
    - Cet espace est sacré, aussi sacré que les enfants.
    Merci à vous chère Geneviève et je vous souhaite une magnifique journée Françoise Ambu Sivam
    Le : 04 mars 2021 à 23:30 (GMT +01:00)
    De : "francoise" <avrilbf@wanadoo.fr>
  • UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL
    LE CULTE POSTMORTEM DES SAINTS DANS LA TRADITION HINDOUE:
    EXPÉRIENCES RELIGIEUSES ET INSTITUTIONNALISATION DU CULTE DE MA ANANDAMAYÏ (1896-1982)
    THÈSE PRÉSENTÉE COMME EXIGENCE PARTIELLE DU DOCTORAT EN SCIENCES DES RELIGIONS PAR ORIANNE AYMARD - OCTOBRE 2008.

    Extrait de son livre ‘WHEN A GODDESS DIES’ (Quand une déesse meurt) une thèse d’Orianne AYMARD sur également : ‘Les reliques et le féminin’… ‘Les femmes gourous’ et le rapport avec leurs correspondants masculins en Inde à l’époque de Mâ Anandamayî.

    L’auteure Orianne AYMARD a été interviewée à Genève, le lundi 1er Mars 2021 pour l’émission sur ‘Les Femmes multi-potentielles’ par Sandrine LARIVE qui en est l’initiatrice. Une thèse particulièrement riche et fournie dont nous donnerons des extraits dans de prochains ‘JAY MA’ avec l’accord de son auteure.
    - Bonjour à tous, de Joëlle Maurel :
    Je sais qu’il est difficile actuellement de se projeter dans l’avenir et de faire
    des projets. Je ressens cependant nécessaire et bénéfique pour nous tous, de continuer de se projeter dans un avenir proche positivement avec la possibilité, cet été, de vivre de bons moments de partage à l’institut Vajra Yogini de Marzens, près de Toulouse.
    Je vous adresse donc, en pièces jointes, les informations concernant les deux
    stages qui auront lieu début juillet à l’institut :
  • Stage de constellations familiales les 3 et 4 juillet 2021 pour continuer de guérir les blessures du passé.
  • Retraite d’été : Guérir, un chemin d’amour et de conscience du 5 au 11 juillet 2021 pour se ressourcer, se détendre et se faire du bien avec des pratiques douces de bien-être.
    Les places sont limitées et ces stages souvent complets assez vite. Aussi, si
    vous êtes intéressés n’hésitez pas à me contacter pour obtenir des renseignements.
    Le printemps revient avec la belle lumière du soleil et l’immense élan vital de
    la vie. Soyez tous remplis de cette lumière et de cette énergie de vie.

    Bien
    affectueusement. Joelle

    Joëlle Maurel -06 20 11 20 07 - Chaine vidéo YouTube de Joelle Maurel : https://www.youtube.com/channel/UCP1x1XhrLTk4BbLcZUJJnYg/
    Site internet: http://joelle.maurel.pagesperso-orange.fr
  • Si vous souhaitez être tenus au courant en en temps réel des nouveaux programmes du Dr Jacques Vigne et recevoir de temps en temps des textes ou articles qu’il vient d’écrire, n’hésitez pas à vous inscrire automatiquement en envoyant simplement un mail à : jvigne.liste@gmail.com
  • Jacques Vigne : annonce deux nouveaux livres, le premier vient de sortir chez Jean-Louis Accarias : ‘Lâcher toutes les dépendances’ écrit avec Michèle Cocchi (voir plus bas) et un autre ‘Méditation contre les douleurs’. Cela pourrait aussi faire des sujets de conférences.
  • Continuons avec les ‘LIENS’, rappelons celui qui ouvre sur les deux ‘Livres AUDIO’ de Swami Vijayânanda notre vieux Maître : ‘Un Français dans l’Himalaya’ et ‘Un Chemin de Joie’, qui furent enregistrés fin 2018 avec les voix de Jean E. LOUIS (voir notre ‘Editorial’ des N°137 et N° 140) et la voix de Geneviève (Mahâjyoti). Nous avions tous deux travaillé à Rome dans la postsynchronisation il y a quelques années. Voici le lien : https://drive.google.com/open?id=1-8TkFAMzA7Mg_9GC2oD6zMT1oaN9POjl
  • SORTIE DU LIVRE: ‘Lâcher toute dépendance’ (Voyage en l’Infini de l’Instant)… Ecrit à 4 mains par Michèle COCCHI et Jacques VIGNE. Editions Accarias L’Originel.
    Du dépassement de la dépendance psychologique à la plénitude non-duelle. La qualité de la thérapie analytique libère la personne de l’emprise envahissante de ses fixations négatives, anxiogènes et culpabilisantes.
    Une belle présentation bien aérée, agréable ...C’est leur 3ème livre ensemble ! Une invitation à faire ce parcours de vie vers la belle ouverture ...Nous en donnerons des extraits dans les prochains JAY MA.
  • Le 20 Mars dernier a eu lieu une Conférence Zoom en hommage au décès du Maître Spirituel Cheikh Aly NDAW de la Communauté des Soufis, qui vivait au Sénégal: Le groupe soufi de Cheikh Aly a invité à une réunion Zoom planifiée : https://us02web.zoom.us/j/3050782130 - ID de réunion : 305 078 2130

    A 16h30 (heure de métropole). Ont été présents, bien entendu, des membres de la communauté des Soufis sur un plan international. Avec la participation du Dr Jacques Vigne. Organisation de Régine ARMOUDON – raj108@live.fr

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Attention : pour les abonnements au JAY MA, notre ami José Sanchez Gonzalez, qui est chargé de la partie administrative, a changé d’adresse postale (Voir plus bas) :


La session actuelle du ‘Jay Mâ’

de Mars 2019 à Mars 2021 est terminée

Nous sommes déjà dans la nouvelle période d’abonnements Pour 3 ans…de Mars 2021 à Mars 2024)

Les renouvellements sont toujours possibles (Marche à suivre en général)

Le N°116 du printemps 2015, fut un ‘Numéro Spécial’ dédié aux 30 années d’existence de notre brochure ‘JAY MA’ et à Atmananda qui en fut l’inspiratrice. Merci aux nouveaux inscrits, et aux fidèles de rester dans la Grande Famille de Mâ !

Les personnes désireuses de s’abonner au JAY MA peuvent prendre leur abonnement ‘en vol’ à n’importe quel moment…Les numéros arriérés leur seront envoyés.

Merci à tous ceux qui rejoindront ‘en route’ l’expérience du ‘JAY MA’ et qui s’inscriront pour ces trois années à venir, auprès de José Sanchez Gonzalez pour la partie administrative. Attention nouvelle adresse postale : 316 chemin du Puits 84110 Saint Marcellin-lès- Vaison – nagajo3@yahoo.fr – 0634988222 et ensuite auprès de Geneviève (Mahâjyoti) qui en gère bénévolement l’édition, pour qu’elle puisse procéder aux envois en vous remettant sur ses nouvelles listes : koevoetsg@orange.fr. N’oubliez pas de l’aviser afin de recevoir les JAY MA…sinon, ils ne vous parviendraient pas ! Identifiez-vous bien auprès de José également et n’oubliez pas de lui communiquer votre EMAIL pour qu’il puisse en aviser Geneviève afin de lui communiquer les inscrits… (Ce qui est souvent oublié !)

La brochure reste toujours au prix de 1 Euro symbolique par exemplaire trimestriel envoyé par email, soit 4 numéros par an. Le renouvellement ou l’inscription se feront toujours automatiquement et cette fois-ci pour 3 ans (au lieu de deux). Il faudra donc envoyer à José, un chèque de 12 Euros au nom de Jacques Vigne, pour couvrir les trois années à venir. Les numéros arriérés seront toujours envoyés par Geneviève (Mahâjyoti) à tous ceux qui s’inscriront en cours de route, à n’importe quel moment.

Cette brochure fut créée il y a 30 ans... Elle représente un lien d’amour avec l’Inde, avec Mâ, les Swamis, les lectures, les retraites, les voyages, les témoignages, à travers la composition bénévole qu’en fait Mahâjyoti, avec la supervision de Jacques Vigne. Mahâjyoti, a une « Lettre d’infos » à votre disposition sur demande, pour bien comprendre la marche à suivre et pour ceux des pays qui n’ont plus de chéquiers.



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Table des matières


Paroles et Souvenirs de Mâ – (Rencontre avec Anandamayî - Les Sages de l’Inde - Par Swami Kriyananda)
La Présence de l’Absence…conte vécu en Mâ (par Geneviève Koevoets-Mahâjyoti)
Laisse partir les gens qui ne sont pas prêts à t’aimer (de Sir Anthony Hopkins)
Poème libre… (De Martha Medeiros)
Vie et Enseignement de Mâ Ananda Mayî (Ecrit et envoyé par Nicole Archambault - Suite)
Poème (de François Cheng)
Priez pour elle…
42 minutes avant le lever du soleil (Témoignage du japonais Shin Terayama)
Privé de clarté (de Jacqueline Pleyers - Chronique spirituelle sur Mâ Anandamayî)
Stage dans le Var (avec Florence Pittolo ‘Sahaj Neel’ et Jacques Vigne)
SOS pandémie Bénarès
Nouvelles
Renouvellement en cours du JAY MA pour Trois ans De Mars 2021 à Mars 2024…

Table des Matières